Réformés > oeuvres http://feed.informer.com/digests/UWQYWDT8EW/feeder Réformés > oeuvres Respective post owners and feed distributors Wed, 16 Mar 2022 16:17:05 +0100 Feed Informer http://feed.informer.com/ Directrice ou Directeur du CSP Genève https://csp.ch/geneve/directrice-ou-directeur-du-csp-geneve/ CSP Genève urn:uuid:ae5f676b-e401-5df2-77d5-8d3865a811ab Tue, 14 Oct 2025 09:26:30 +0200 <p>Le CSP Genève est une institution sociale privée qui s’engage depuis plus de 70 ans au service des personnes confrontées à Genève à la précarité, à l’isolement et à des difficultés dues aux accidents de la vie. Ses professionnel·les offrent un service gratuit de conseil et d’accompagnement dans les domaines social et juridique, ainsi que [&#8230;]</p> <p>Cet article <a href="https://csp.ch/geneve/directrice-ou-directeur-du-csp-geneve/">Directrice ou Directeur du CSP Genève</a> est apparu en premier sur <a href="https://csp.ch/geneve">CSP Genève</a>.</p> <p>Le <strong>CSP Genève </strong>est une institution sociale privée qui s’engage depuis plus de 70 ans au service des personnes confrontées à Genève à la précarité, à l’isolement et à des difficultés dues aux accidents de la vie. Ses professionnel·les offrent un service gratuit de conseil et d’accompagnement dans les domaines social et juridique, ainsi que des activités favorisant l’insertion socioprofessionnelle et le lien social. Solidaire et indépendant, le CSP est un acteur incontournable de la promotion de la justice sociale et s&rsquo;engage auprès de chacun·e, sans distinction de confession ou d&rsquo;origine. Le CSP vit principalement de dons ainsi que du produit de ses deux brocantes et cinq boutiques de seconde main « <a href="https://renfile.ch/">Renfile</a> ».</p> <p>Pour continuer à atteindre ses objectifs et assurer une transition harmonieuse à la suite du départ à la retraite à venir du Directeur actuel, le Comité du CSP Genève recherche sa ou son futur·e :</p> <p><strong>Directrice ou Directeur</strong></p> <p><strong>Poste à 100 % – Genève</strong></p> <p>&nbsp;</p> <p><strong>Un rôle et des missions à impact social</strong></p> <p>En tant que Directrice ou Directeur, vous êtes la cheffe ou le chef d’orchestre du CSP Genève dans le respect des orientations stratégiques définies par le Comité de l’Association.<br /> Rattaché·e au Comité, vous incarnez et portez la vision, la mission et les valeurs de l’Association.</p> <p>Avec le Groupe de direction, vous pilotez le développement des activités, garantissez leur pertinence, leur qualité et leur pérennité, et anticipez les besoins sociaux émergents de la population genevoise.</p> <p>Dans le cadre de vos missions, vous serez amené·e à :</p> <ul> <li><strong>Contribuer</strong> à définir les orientations à moyen et long terme avec le Comité, puis veiller à leur mise en œuvre.</li> <li><strong>Assurer</strong> la viabilité financière et la bonne gouvernance de l’institution.</li> <li><strong>Développer</strong> des projets d’innovation sociale et à impacts durables, favoriser la coopération entre services et créer les conditions d’un climat de travail collaboratif, équitable et bienveillant.</li> <li><strong>Représenter</strong> le CSP auprès des autorités, partenaires institutionnels, réseaux associatifs, donateurs et médias, en défendant son indépendance et en promouvant ses valeurs.</li> <li><strong>Incarner</strong> une posture d’acteur·ice du changement, moteur de plaidoyer et de réflexion socio-politique.</li> <li><strong>Inspirer et fédérer</strong> les équipes grâce à un leadership mobilisateur.</li> </ul> <p><strong>Votre parcours et vos compétences</strong></p> <ul> <li>Formation universitaire en sciences sociales, sciences économiques ou droit (ou autre domaine pertinent), idéalement complétée par un diplôme en gestion d’institution à but non lucratif.</li> <li>Expérience confirmée (min. 5 ans) dans une fonction à responsabilité similaire, incluant gestion budgétaire et management d’équipes.</li> <li>Excellente connaissance de l’environnement social, institutionnel et associatif genevois.</li> <li>Esprit entrepreneurial et capacité à conduire le changement avec rigueur et vision stratégique.</li> <li>Sens aigu des priorités, organisation et fiabilité dans l’exécution.</li> <li>Aptitude au dialogue, sens de l’écoute et diplomatie pour fédérer autour d’une vision commune et incarner les valeurs du CSP.</li> <li>Aisance en communication publique.</li> </ul> <p><strong> </strong></p> <p><strong>Pourquoi vous aimerez nous rejoindre</strong></p> <p>Rejoindre le CSP, c’est s’engager pour la justice sociale, défendre notre mission et nos valeurs, et relever un défi passionnant dans un contexte en perpétuelle évolution.</p> <p>Nous vous offrons :</p> <ul> <li>Un rôle à forte responsabilité, au cœur des enjeux sociaux genevois.</li> <li>L’opportunité de contribuer au rayonnement d’une institution reconnue.</li> <li>Un environnement de travail engagé, solidaire et pluridisciplinaire, où l’intelligence collective est valorisée.</li> </ul> <p><strong>Prêt·e à poursuivre notre histoire ?</strong></p> <p>Cette opportunité résonne avec vos aspirations et vos compétences ? Faites partie de notre aventure humaine et contribuez à écrire les prochaines pages de l’histoire du CSP en soumettant votre dossier de candidature complet à notre partenaire externe, par courriel à : <strong>Cabinet BGMP, Mme Véronique Marti, </strong><a href="&#x6d;&#97;&#x69;&#108;t&#x6f;&#58;b&#x67;&#109;&#x70;&#x40;b&#x67;&#109;p&#x2e;&#99;&#x68;"><strong>&#x62;&#103;m&#x70;&#64;b&#x67;&#109;p&#x2e;&#99;h</strong></a><strong>.</strong></p> <ul> <li><strong>Entrée en fonction :</strong> 1er août 2026</li> <li><strong>Lieu de travail :</strong> Genève</li> <li><strong>Délai de postulation :</strong> <strong>mardi 11 </strong><strong>novembre </strong><strong>2025</strong></li> </ul> <p>Pour plus d’informations sur le cabinet BGMP, consultez le site <a href="http://www.bgmp.ch"><strong>www.bgmp.ch</strong></a> et pour des questions plus spécifiques, vous pouvez joindre ses consultant.es par téléphone au 022 786 09 19 ou par courriel, <a href="&#x6d;&#x61;&#x69;&#x6c;&#x74;&#x6f;&#x3a;&#98;&#103;&#109;&#112;&#64;bgmp&#x2e;&#x63;&#x68;">&#98;&#x67;&#x6d;p&#64;&#x62;&#x67;m&#112;&#x2e;c&#104;</a>. Notre partenaire externe vous garantit une confidentialité absolue. Aucun dossier n’est transmis au mandant sans l’accord du/de la candidat·e.</p> <p>Cet article <a href="https://csp.ch/geneve/directrice-ou-directeur-du-csp-geneve/">Directrice ou Directeur du CSP Genève</a> est apparu en premier sur <a href="https://csp.ch/geneve">CSP Genève</a>.</p> „Invisible no more“: Eurocarers fordert Reformen für migrantische Care-Arbeit https://diakonie.ch/invisible-no-more-eurocarers-fordert-reformen-fuer-migrantische-care-arbeit/ Diakonie Schweiz urn:uuid:caef7aea-2bc2-e2e7-f2a7-b859f3e11ccb Tue, 14 Oct 2025 06:47:26 +0200 Zum Europäischen Tag der betreuenden Angehörigen rückt Eurocarers die unsichtbare Rolle migrantischer Betreuungskräfte und der informellen Pflegenden ins Zentrum – mit klaren politischen Forderungen. <p>Eurocarers warnt in einem neuen Positionspapier vor gravierenden Lücken in der Langzeitpflege in Europa. Versorgung sei vielerorts weder ausreichend zugänglich noch bezahlbar, so dass Angehörige, Freundinnen und Freunde weiterhin einen Grossteil der Betreuung schultern. Um Beruf und Betreuung zu vereinbaren, greife ein wachsender Teil dieser informellen Pflegenden auf migrantische Betreuungskräfte zurück – häufig als Live-in-Arrangements im häuslichen Umfeld. Diese Lösungen füllten zwar Versorgungslücken, gingen aber mit erheblichen Belastungen und Risiken einher, die Angehörige ebenso treffen wie die betreuten Personen und die migrantischen Arbeitskräfte, heisst es in dem Papier, das im Rahmen der Kampagne „Invisible no more: Let’s see &amp; value migrant care“ zum European Carers Day am 6. Oktober vorgelegt wurde.</p> <p>Beschrieben werden finanzielle Hürden für Familien, der Eingriff in die Privatsphäre, erhebliche organisatorische und rechtliche Unsicherheiten für Angehörige in der Arbeitgeberrolle sowie ungelöste Qualitätsfragen. Sprachliche und kulturelle Barrieren erschwerten eine gelingende Pflegebeziehung; zugleich fehlten häufig Training, Supervision und Einbindung der Live-in-Kräfte in lokale Versorgungsstrukturen. Eurocarers verweist zudem auf die psychische Belastung vieler Migrantinnen und Migranten, die isoliert arbeiten und von der Familie getrennt leben. Exemplarische Länderblicke, etwa nach Österreich und Italien, illustrieren die Systemrelevanz, aber auch die Schattenseiten eines rasch gewachsenen, teils informellen Marktes – inklusive der ambivalenten Rolle privater Vermittlungsagenturen.</p> <p>Auf dieser Basis formuliert Eurocarers sieben Handlungsfelder: Priorität für den Ausbau wohnortnaher, bezahlbarer und qualitativ gesicherter Langzeitpflege; Sichtbarkeit und Wertschätzung der migrantischen Care-Arbeit; Information, Beratung und Entlastung für informelle Pflegende in der Arbeitgeberrolle; rechtliche Absicherung und Zugang zu Arbeits- und Sozialrechten; Qualitätsentwicklung durch Sprach- und Fachqualifizierung, Anerkennung von Kompetenzen und psychosoziale Unterstützung; klare Regulierungen samt Durchsetzung und mehrsprachiger Leitfäden; sowie die Förderung innovativer, gemeinwesenorientierter Misch-Care-Modelle, die formelle und informelle Leistungen partnerschaftlich verzahnen. Ziel sei eine Abkehr von der „Schnellreparatur“ hin zu reformierten, integrierten Pflegearrangements, die die Menschenrechte und den gesellschaftlichen Wert von Care in den Mittelpunkt stellen.</p> <p>Unterstützt wird die Veröffentlichung vom gesamteuropäischen Diakonie-Dachverband Eurodiaconia. Dieser hebt zum European Carers Day die gemeinsame Botschaft hervor, dass Europa migrantische Care-Arbeit nicht länger als Notpflaster missbrauchen dürfe, sondern Anerkennung, Rechte und „echte Investitionen in nachhaltige Pflege“ brauche. „On European Carers Day, we say: invisible no more“, wird Claire Champeix, Senior Policy Officer von Eurocarers, zitiert.</p> Stillstand bei Hungerbekämpfung: Welthunger-Index zeigt Weltgemeinschaft in der Pflicht https://diakonie.ch/stillstand-bei-hungerbekaempfung-welthunger-index-zeigt-weltgemeinschaft-in-der-pflicht/ Diakonie Schweiz urn:uuid:4814b229-8bae-a431-cf71-ab46cf24d34d Mon, 13 Oct 2025 06:35:24 +0200 Der Welthunger-Index 2025 verzeichnet nur minimale Fortschritte – Kriege, Klimakrise und fehlender politischer Wille bremsen die Bekämpfung von Hunger weltweit. <p>Die deutsche Welthungerhilfe hat gemeinsam mit Partnern den 20. Welthunger-Index (WHI) vorgestellt – mit ernüchternder Bilanz. Demnach stagniert die globale Entwicklung seit Jahren: Der weltweite WHI-Wert liegt 2025 bei 18,3 Punkten und damit nur knapp unter dem Wert von 2016 (19,0). Das Ziel „Zero Hunger“ bis 2030 rückt in weite Ferne. Bei unverändertem Tempo würden 56 Länder bis 2030 kein niedriges Hungerniveau erreichen; global wäre dies erst 2137 der Fall, so die Auswertung.</p> <p>Insgesamt wurden 136 Länder erfasst; in sieben Ländern wird der Hunger als „sehr ernst“ eingestuft – darunter Burundi, die Demokratische Republik Kongo, Haiti, Jemen, Madagaskar, Somalia und der Südsudan. In weiteren 35 Ländern ist die Lage „ernst“. Besonders betroffen bleiben Afrika südlich der Sahara und Südasien. Gleichzeitig zeigen Beispiele wie Mosambik, Ruanda, Somalia, Togo und Uganda, dass entschlossene Politik und Investitionen Fortschritte ermöglichen.</p> <p>Als stärkster Treiber gelten gewaltsame Konflikte: 2024 lösten Kriege 20 Ernährungskrisen aus und trafen fast 140 Millionen Menschen. Die Lage in Gaza und im Sudan illustriert die Zerstörung von Lebensgrundlagen und den verwehrten Zugang zu Hilfe; die Zahl der Menschen in Hungersnot hat sich gegenüber 2023 verdoppelt. Parallel verstärken wirtschaftliche Schocks und der Rückgang internationaler Hilfsgelder die Not, während Militärausgaben stark anstiegen.</p> <p>Die Klimakrise wirkt als Dauerbelastung: 2024 war das wärmste Jahr seit Beginn der Aufzeichnungen, Extremwetter zerstört Ernten und Fischerei zunehmend. Frühwarn- und Datensysteme geraten unter Druck; Datenlücken in besonders betroffenen Kontexten verschleiern das tatsächliche Ausmass des Hungers – ein gefährlicher Teufelskreis, da unsichtbare Bedarfe unversorgt bleiben.</p> <p>Die Pressemitteilung der deutschen Welthungerhilfe betont den Handlungsbedarf auch politischer Entscheidungsträgerinnen und Entscheidungsträger in Europa. „Allein im letzten Jahr lösten Kriege 20 akute Hungerkrisen weltweit aus, die fast 140 Millionen Menschen betrafen“, so Marlehn Thieme, Präsidentin der Welthungerhilfe. Angesichts gekürzter Budgets fordert sie, geplante Einschnitte bei der humanitären Hilfe zurückzunehmen.</p> <p>Gleichzeitig erinnert die Organisation daran, dass Fortschritte möglich sind, wenn gute Regierungsführung, Rechtsrahmen – etwa das verankerte Recht auf Nahrung – und langfristige Investitionen zusammenkommen. „Nur durch gute Regierungsführung und förderliche politische, soziale und wirtschaftliche Rahmenbedingungen können wir nachhaltige Fortschritte im Kampf gegen Hunger erzielen“, betont Generalsekretär Mathias Mogge; nötig seien widerstandsfähige Ernährungssysteme, internationales Engagement und entschlossenes Handeln gegen Kriege.</p> <p>Der WHI formuliert entsprechende Empfehlungen: Niemanden zurücklassen, klimaresiliente Landwirtschaft fördern, Finanzierung aus diversifizierten Quellen sichern, nationale Verantwortung stärken, lokale Umsetzung priorisieren und den Kreislauf von Konflikten und Hunger rechtlich wie praktisch durchbrechen. Diese Schritte zielen auf messbare, kontextspezifische Massnahmen – von Schulspeisungen über soziale Sicherung bis zur Stärkung lokaler Regierungsführung sowie von Frauen und jungen Menschen.</p> Eurodiaconia warnt vor EU-Rückführungsreform: Menschenwürde in Gefahr https://diakonie.ch/eurodiaconia-warnt-vor-eu-rueckfuehrungsreform-menschenwuerde-in-gefahr/ Diakonie Schweiz urn:uuid:9c0b18f3-9eee-22fa-e502-0b3c3a04ee29 Fri, 10 Oct 2025 06:13:54 +0200 Der gesamteuropäische Diakonie-Dachverband Eurodiaconia kritisiert zusammen mit christlichen Partnerorganisationen den EU-Vorschlag für eine neue Rückführungsregelung und fordert evidenzbasierte, menschenrechtskonforme Verfahren. <p>Eurodiaconia, der gesamteuropäische Diakonie-Dachverband, hat sich einer Koalition aus zehn christlichen Organisationen angeschlossen, die den Vorschlag der Europäischen Kommission für ein neues gemeinsames System zur Rückführung von Migrantinnen und Migranten ablehnen. Der Entwurf, der im März 2025 vorgestellt wurde, soll die bisherige Rückführungsrichtlinie von 2008 ersetzen. Nach Einschätzung der unterzeichnenden Organisationen würde die neue Regelung die zwangsweise Rückführung gegenüber der freiwilligen Rückkehr klar bevorzugen. Dabei müsse, so die Erklärung, die Würde und Sicherheit jedes Menschen sowie eine auf Fakten basierende Politik im Mittelpunkt des Gesetzgebungsprozesses stehen.</p> <p>Die beteiligten Organisationen weisen insbesondere auf die geplante Ausweitung der Administrativhaft hin. Der Vorschlag der Kommission ermögliche es, Menschen bis zu 24 Monate oder länger festzuhalten – ein Zeitraum, der weit über die bisherigen Grenzen hinausgehe. Zudem sei im Entwurf nicht mehr ausdrücklich festgehalten, dass Haft nur als letztes Mittel zulässig sei. Die Unterzeichnenden betonen, dass die Inhaftierung von Minderjährigen grundsätzlich ausgeschlossen werden müsse, da sie niemals im besten Interesse eines Kindes liege. Stattdessen fordern sie die EU und ihre Mitgliedstaaten auf, konsequent Alternativen zur Haft zu fördern und umzusetzen.</p> <p>Als zentralen Ansatzpunkt sieht die Koalition die Förderung freiwilliger Rückkehrprogramme. Diese seien aus humanitärer, rechtlicher und praktischer Sicht die nachhaltigste Form der Rückführung. Die vorgesehene Frist von 30 Tagen für die freiwillige Ausreise sei jedoch zu kurz bemessen, heisst es weiter. Menschen, die in ihre Herkunftsländer zurückkehren möchten, benötigten Zeit für Vorbereitung, Beratung und Reintegration. Diese Aufgaben sollten von unabhängigen zivilgesellschaftlichen und kirchlichen Trägern übernommen werden, die über das nötige Vertrauen und Fachwissen verfügen. So könne gewährleistet werden, dass Rückkehrprozesse würdevoll verlaufen und Betroffene echte Perspektiven erhalten.</p> <p>Kritisch äussern sich Eurodiaconia und ihre Partnerorganisationen auch zu den geplanten «Return Hubs» ausserhalb der Europäischen Union. Eine Auslagerung von Rückführungsverfahren in Drittstaaten sei mit erheblichen menschenrechtlichen Risiken verbunden und könne zu sogenannten Kettenabschiebungen führen. Ebenso problematisch sei die geplante Zusammenarbeit mit Regierungen, die die Grundrechte nicht gewährleisten. Der Zusammenschluss fordert, dass Rechtsmittel gegen Rückkehrentscheide grundsätzlich aufschiebende Wirkung haben müssen, um effektiven Rechtsschutz zu sichern.</p> <p>Besorgt zeigen sich die Unterzeichnenden auch über Bestimmungen, die Sanktionen gegen Menschen vorsehen, die als «nicht kooperativ» gelten. In der Praxis könne dies dazu führen, dass Personen bestraft würden, die aus gesundheitlichen oder psychischen Gründen nicht in der Lage seien, die Anforderungen der Behörden zu erfüllen. Solche Regelungen widersprächen dem Gebot der Menschenwürde und der Verantwortung der EU, schutzbedürftige Gruppen besonders zu achten.</p> <p>Eurodiaconia erinnert in diesem Zusammenhang daran, dass Kirchen und diakonische Werke in ganz Europa tagtäglich mit Geflüchteten und Migrantinnen und Migranten arbeiten. Sie erleben unmittelbar die Folgen europäischer Migrationspolitik und setzen sich für faire, menschliche und wirksame Verfahren ein. Die Organisation betont, dass Rückführungen freiwillig bleiben und die Menschenrechte sowie die Würde aller Beteiligten uneingeschränkt respektiert werden müssen. Die politische Debatte dürfe sich nicht von kurzfristigen Stimmungen leiten lassen, sondern müsse den Schutz der Menschenrechte, die Wahrung des Rechtsstaats und die gelebte Solidarität in den Mittelpunkt stellen.</p> Abschaffung der Todesstrafe: Schweiz erzielt weiteren Erfolg im UNO-Menschenrechtsrat https://diakonie.ch/abschaffung-der-todesstrafe-schweiz-erzielt-weiteren-erfolg-im-uno-menschenrechtsrat/ Diakonie Schweiz urn:uuid:a754df5a-86a9-861f-3726-e5326ae3cbe5 Thu, 09 Oct 2025 06:14:14 +0200 Der UNO-Menschenrechtsrat stärkt auf Schweizer Initiative die Rechte von Menschen in Todesstrafenverfahren und setzt zusätzliche Schwerpunkte – ein weiterer Schritt in Richtung weltweite Abschaffung. <p>Die Schweizer Eidgenossenschaft verbucht im UNO-Menschenrechtsrat einen diplomatischen Erfolg: Das Gremium hat mit grosser Mehrheit eine von der Schweiz und sieben weiteren Staaten eingebrachte Resolution angenommen, die Personen, denen die Todesstrafe droht, ein Recht auf Gleichheit vor dem Gesetz zusichert. «Der UNO-Menschenrechtsrat hat mit grosser Mehrheit eine von der Schweiz und sieben weiteren Ländern eingebrachte Resolution angenommen, die Personen, denen die Todesstrafe droht, das Recht auf Gleichheit vor dem Gesetz gewährt», heisst es in der Mitteilung des Eidgenössischen Departements für auswärtige Angelegenheiten (EDA). Die Annahme fiel am Schlusstag der 60. Ratstagung, die einen Monat dauerte und letztmals unter dem Vorsitz des Schweizer Botschafters Jürg Lauber stattfand.</p> <p>Nach Angaben des EDA ist die weltweite Abschaffung der Todesstrafe eine Priorität der Schweizer Diplomatie. Gemäss Bundesverfassung ist die Todesstrafe verboten, da sie mit der Achtung der Menschenrechte unvereinbar ist, so die Mitteilung. Die Schweiz legt ihr Engagement auf die Stärkung des internationalen Rechtsrahmens aus und betont in der neuen Resolution ausdrücklich die spezifische Diskriminierung von verurteilten Frauen sowie die Übervertretung von Angehörigen von Minderheiten oder von sozialen und wirtschaftlichen Randgruppen unter den zur Todesstrafe verurteilten Personen. Indem diese Aspekte im Wortlaut festgehalten werden, soll Ungleichbehandlung in Verfahren mit möglicher Todesfolge stärker adressiert werden. Das EDA verweist darauf, dass der langwierige Prozess «nun Früchte trägt»: Die Zahl der Staaten, die die Todesstrafe abgeschafft haben, sei von 80 im Jahr 2003 auf heute 117 gestiegen.</p> <p>Neben der Todesstrafen-Resolution nennt die Mitteilung weitere Ergebnisse der 60. Tagung. So beschloss der Rat, für Afghanistan einen Mechanismus einzurichten, der Beweise für internationale Verbrechen und schwere Verstösse gegen das Völkerrecht – auch gegen Frauen und Mädchen – sammelt, sichert, auswertet und aufbereitet. Die Zusammenarbeit mit internationalen Gerichten ist Teil des Mandats. Damit sollen die Chancen der Opfer auf Gerechtigkeit und eine potenzielle Wiedergutmachung erhöht werden. Übergangsjustiz, Vergangenheitsarbeit und der Kampf gegen Straflosigkeit seien für eine nachhaltige Konfliktlösung und Demokratieförderung unerlässlich und zählten auch für die Schweiz zu den Prioritäten.</p> <p>Ein weiterer Schwerpunkt der Tagung betraf die Meinungsäusserungsfreiheit im Internet. Der Menschenrechtsrat ringt seit Längerem um ein ausgewogenes Verhältnis zwischen der Meinungsfreiheit, dem Verbot von Hassreden sowie der Religions- und Glaubensfreiheit. Die Schweiz organisierte hierzu eine Veranstaltung, die sich mit der Frage befasste, wie Hassreden online bekämpft und übermässige Zensur vermieden werden können. Diskutiert wurden zudem Rolle und Verantwortung verschiedener Akteure bei Menschenrechtsverletzungen im digitalen Raum. Das grosse Interesse an der Veranstaltung unterstrich gemäss Mitteilung die Relevanz des Themas.</p> <p>Schliesslich verweist die Medienmitteilung auf den Abschluss der Präsidentschaft von Botschafter Jürg Lauber. Vor dem Hintergrund eines wachsenden finanziellen Drucks auf die Vereinten Nationen habe sich Lauber durch effiziente Ressourcenverwaltung ausgezeichnet und zur Effizienzsteigerung der Ratsarbeit beigetragen, heisst es. Für die Schweizer Aussenpolitik bedeutet das Ratsergebnis einen sichtbaren Fortschritt ihres menschenrechtlichen Kernanliegens, die Todesstrafe weltweit zurückzudrängen, und markiert zugleich einen Akzent bei Übergangsjustiz und digitaler Meinungsfreiheit.</p> Oxfam: “Klimahilfen sind für reiche Länder ein Geschäftsmodell” https://diakonie.ch/oxfam-klimahilfen-sind-fuer-reiche-laender-ein-geschaeftsmodell/ Diakonie Schweiz urn:uuid:9224bfe3-0179-c19f-324b-d6caea20f244 Wed, 08 Oct 2025 05:58:31 +0200 Neue Oxfam-Zahlen zeigen: Klimahilfen belasten oft die Ärmsten – zugleich befürworten breite Mehrheiten in 13 Ländern höhere Steuern für Superreiche. <p>Ein neuer Schattenbericht von Oxfam und dem CARE Climate Justice Center attestiert den Industrieländern eine problematische Klimafinanzierungspraxis. Demnach floss im Jahr 2022 ein grosser Teil der öffentlichen Klimahilfen an Länder des Globalen Südens nicht als Zuschüsse, sondern als Kredite. Der Bericht beziffert den Kreditanteil auf 65 Prozent; viele Darlehen seien «nicht einmal zu vergünstigten Konditionen» vergeben worden, was die Schuldenlast armer Länder weiter erhöhe, so die Mitteilung der deutschen Organisation Oxfam. Zugleich prognostiziert Oxfam angesichts geplanter Kürzungen in der Entwicklungszusammenarbeit einen Rückgang der Klimafinanzierung auf unter 80 Milliarden US-Dollar im Jahr 2025 – nach knapp 95 Milliarden US-Dollar im Jahr 2022.</p> <p>Besonders kritisch fällt die Bestandsaufnahme für die am wenigsten entwickelten Länder und einkommensschwachen Inselstaaten aus. Sie erhielten in den Jahren 2021 bis 2022 nur einen kleinen Teil der Mittel, mehr als die Hälfte davon wiederum als Darlehen. Zusätzlich weist Oxfam Deutschland darauf hin, dass lediglich ein sehr kleiner Anteil der Gelder ausdrücklich der Förderung der Geschlechtergerechtigkeit diene, obwohl Frauen und Mädchen von der Klimakrise überdurchschnittlich betroffen seien.</p> <p>Die politische Stimmung geht indes in eine andere Richtung: Eine repräsentative, im Mai 2025 durchgeführte Umfrage von Oxfam International und Greenpeace in 13 Ländern zeigt «grosse Mehrheiten» für höhere Abgaben auf sehr hohe Vermögen und Einkommen, wenn diese der Finanzierung öffentlicher Dienste und der Bewältigung von Klimaschäden dienen. Laut der Erhebung unterstützen breite Bevölkerungsgruppen zudem das Schliessen von Steuerschlupflöchern sowie eine Vermögensbesteuerung der Superreichen auf globaler Basis – unabhängig davon, wo Vermögen verwahrt werden. Die Gesamtauswertung und Ländervergleiche (u. a. Deutschland, Frankreich, Spanien, USA, Indien, Mexiko, Philippinen, Südafrika, Kenia) dokumentieren diese Zustimmungswerte über zahlreiche Politikfelder hinweg, von Schulen und Gesundheitsversorgung bis zu Investitionen in Klimaschutz und Resilienz.</p> <p>Aus Sicht von Oxfam verfestigt das derzeitige System die Ungleichheit. «Für die reichen Länder ist die Bereitstellung von Unterstützung auch ein Geschäftsmodell, das die Länder des Globalen Südens in einem Kreislauf der Verschuldung gefangen hält und Gewinne für die Geberländer erzeugt. Das verschärft die globale Ungleichheit», sagt Jan Kowalzig, Referent für Klimapolitik und Co-Autor des Berichts. Er und Partnerorganisationen fordern, Zusagen nicht nur einzuhalten, sondern die Unterstützung bis 2035 stufenweise auf mindestens 300 Milliarden US-Dollar pro Jahr anzuheben – vorrangig als Zuschüsse, um weitere Verschuldung zu vermeiden. Als zusätzliche Einnahmequellen werden unter anderem Abgaben auf sehr grosse Vermögen und auf Gewinne der fossilen Energiewirtschaft genannt.</p> <p>Die Umfrage von Oxfam International und Greenpeace stützt diese Linie kommunikativ: In der Gesamtschau finden Massnahmen wie höhere Steuern für Superreiche zur Finanzierung von Schulen, Spitälern, Hilfen nach Klimakatastrophen, Investitionen in erneuerbare Energien oder Gebäudedämmung deutliche Mehrheiten. Auch für strengere Regeln gegen Steuervermeidung internationaler Konzerne und sehr Vermögender sprechen sich Mehrheiten in fast allen untersuchten Ländern aus.</p> Pro Senectute: Gewalt in der Betreuung bleibt oft unerkannt https://diakonie.ch/pro-senectute-gewalt-in-der-betreuung-bleibt-oft-unerkannt/ Diakonie Schweiz urn:uuid:e380c741-d87d-ee58-1e96-02e5d99d9710 Tue, 07 Oct 2025 07:15:52 +0200 Jede neunte Person ab 60 hat im häuslichen Betreuungsalltag Gewalt erlebt oder beobachtet – viele können Übergriffe nicht einordnen. <p>Pro Senectute Schweiz präsentiert eine neuen, repräsentativen Erhebung: Jede neunte Person ab 60 Jahren hat im häuslichen Betreuungsalltag bereits Gewalt erlebt oder beobachtet, teilte die Organisation mit. Zugleich gibt rund ein Fünftel der Befragten an, Gewalt in der Betreuung älterer Menschen nicht einordnen zu können – ein Hinweis darauf, dass das Bewusstsein für das Thema weiterhin lückenhaft ist. «Gewalt im Alter wird oft nicht als solche erkannt», wird Direktor Alain Huber in einer Medienmitteilung zitiert. Die von gfs-zürich im Juni 2025 telefonisch erhobene Befragung umfasst 1’204 Frauen und Männer ab 60 Jahren aus allen Sprachregionen und gilt nach Angaben des Instituts als repräsentativ für die Bevölkerung 60+.</p> <p>Auf die Frage, was unter «Gewalt in der Betreuung» verstanden wird, nennen zwei von fünf Befragten psychische Gewalt – etwa Demütigung, Einschüchterung oder Manipulation. Dicht dahinter folgen körperliche Gewalt wie Schläge, Stösse oder grobes Anfassen (38 Prozent) sowie verbale Übergriffe (etwas mehr als ein Viertel). Etwas mehr als jede fünfte Person versteht darunter Vernachlässigung. Praktisch niemand denkt an Betrugsformen wie Finanzmissbrauch, hält Pro Senectute Schweiz fest. «Gerade auf weniger bekannte Gewaltformen wie Finanzmissbrauch muss künftig noch besser aufmerksam gemacht werden», betont Huber gemäss Mitteilung.</p> <p>Besonders bedenklich sei das fehlende Problembewusstsein in Teilen der älteren Bevölkerung, heisst es weiter. «Im Beratungsalltag berichten ältere Menschen häufig von Gewaltvorkommnissen, welche sie vor dem Beratungsgespräch nicht als solche erkannt hatten», erklärt Paolo Nodari, Direktor von Pro Senectute Ticino e Moesano, eine der drei Gründungsorganisationen des Nationalen Kompetenzzentrums Alter ohne Gewalt.</p> <p>Als häufigste Ursachen für Gewalt nennen Befragte Überforderung, Zeitdruck und Stress. Entlastung leistende Angebote, bessere Schulungen – etwa Deeskalationstrainings oder Schulungen zum Umgang mit Demenz – sowie Coaching für betreuende Bezugspersonen werden am häufigsten als Präventionsmassnahmen gewünscht. Die Befunde beziehen sich ausdrücklich auf Betreuung zu Hause, also nicht-medizinische Unterstützung in den eigenen vier Wänden, und nicht auf Pflegeleistungen. Zum Vergleich verweist Pro Senectute Schweiz auf Schätzungen des Bundes, wonach jährlich bis zu 500’000 Personen ab 60 Jahren von Gewalt oder Vernachlässigung betroffen sind – zu Hause wie im Heim.</p> <p>Pro Senectute Schweiz, die nach eigenen Angaben mit über 1’500 Mitarbeitenden und 17’700 Freiwilligen in über 130 Beratungsstellen tätig ist, fordert daher «verstärkte Massnahmen» und mehr Sensibilisierung – insbesondere für weniger sichtbare Formen wie Finanzmissbrauch. Ziel sei es, Seniorinnen und Senioren sowie ihre Angehörigen so zu unterstützen, dass ein möglichst selbstbestimmtes Leben in den eigenen vier Wänden möglich bleibt.</p> Sozial- und Gesundheitsdienste unter Druck: Eurodiaconia und Caritas Europa legen gemeinsamen Bericht vor https://diakonie.ch/sozial-und-gesundheitsdienste-unter-druck-eurodiaconia-und-caritas-europa-legen-gemeinsamen-bericht-vor/ Diakonie Schweiz urn:uuid:38a89e5c-1312-270d-5194-70044a506053 Mon, 06 Oct 2025 06:11:49 +0200 Gemeinsamer Bericht zeigt steigenden Bedarf, stagnierende Finanzierung und politischen Handlungsbedarf – Vorstellung im Europäischen Parlament. <p>Ein gemeinsamer Bericht von Caritas Europa und dem gesamteuropäischen Diakonie-Dachverband Eurodiaconia zeichnet ein Bild sozialer und gesundheitlicher Dienste in Europa, die unter wachsendem Druck stehen. Die beiden Organisationen stützen sich auf eine Befragung von 20 gemeinnützigen Trägern in 16 Ländern, erhoben zwischen Februar und April 2025. Genannt werden als drängendste Herausforderungen die alternde Bevölkerung und der wachsende Bedarf an Langzeitpflege (60 Prozent), die Wohnkostenkrise und Obdachlosigkeit (55 Prozent) sowie die Teuerung (50 Prozent). Fast alle Befragten sehen diese Probleme in den vergangenen fünf Jahren deutlich angestiegen.</p> <p>Zugleich melden die Einrichtungen erhebliche Engpässe bei der Leistungserbringung: 90 Prozent nennen fehlende Finanzierung als grösstes Hindernis, 65 Prozent zu wenig Personal oder Freiwillige, 40 Prozent mangelnden Zugang zu Räumen und Ressourcen. Viele Träger verfügten zwar über öffentliche Unterstützung, diese reiche aber nur teils aus, um operative Bedürfnisse zu decken. In der Folge müssten Angebote reduziert, Investitionen gestoppt und die Personalentwicklung eingeschränkt werden, heisst es.</p> <p>Besonders problematisch ist laut Bericht die Finanzierungslage: In mehreren Ländern blieben Zuschüsse nominal auf Vorjahresniveau und hielten mit Lohn-, Energie- und Infrastrukturkosten nicht Schritt. Eine Rückmeldung aus der Praxis lautet: „Die Finanzierung reagierte überhaupt nicht auf die steigenden Kosten für Energie, Miete, Treibstoff und insbesondere Löhne – und das, obwohl die Löhne in unserem Bereich ohnehin schon zu niedrig sind.“ Die Unsicherheit werde durch verspätete Mittelzuflüsse, politische Übergänge und Konsolidierungsmassnahmen der öffentlichen Hand verstärkt. Zusätzlich wirkten höhere Mehrwert- oder Transaktionssteuern kostentreibend.</p> <p>Der Bericht verweist zudem auf die Lücke bei den Arbeitsbedingungen: In bestimmten Ländern verdienen Mitarbeitende gemeinnütziger Träger bis zu 20 bis 30 Prozent weniger als Beschäftigte im öffentlichen Sektor, was die Personalbindung erschwert. Gleichzeitig stehen weitere Kostensteigerungen im Raum, etwa durch das ab 2027 wirkende ETS-2, das Energiepreise auch für soziale Dienste beeinflussen dürfte. Die Organisationen bewerten ihre eigene Anpassungsfähigkeit mehrheitlich als mittel; niemand fühle sich sehr gut vorbereitet.</p> <p>Vor diesem Hintergrund formulieren Caritas Europa und Eurodiaconia politische Empfehlungen. Gefordert werden eine EU-Armutsstrategie mit Priorität für Zugänge zu elementaren Diensten, gezielte und mehrjährige Förderinstrumente im nächsten Mehrjährigen Finanzrahmen, administrativ leichter zugängliche Mittel für kleinere Träger, die systematische Einbindung gemeinnütziger Anbieterinnen und Anbieter in nationale Armutspläne sowie ein Ausbau von Qualifizierung, Digitalisierung und Innovation. Ebenso plädieren die Verbände für faire Arbeitsbedingungen und soziale Investitionsziele im Europäischen Semester.</p> <p>Vorgestellt wurde der Bericht im Europäischen Parlament auf Einladung der Abgeordneten Gabriele Bischoff und Martine Kemp. Vertretungen von elf Eurodiaconia-Mitgliedern nahmen teil; aus Schweden schilderte Hela Människan Erfahrungen aus der Basisarbeit. „Gemeinnützige soziale Dienstleistende springen tagtäglich ein, um Menschen in Not, Familien in Armut und Gemeinschaften in schwierigen Lagen zu unterstützen. Trotz ihres Engagements und ihrer harten Arbeit stehen sie jedoch selbst vor grossen Herausforderungen“, sagte Annika Sparrer von Eurodiaconia.</p> Diakonie Österreich warnt vor zunehmender Altersdiskriminierung https://diakonie.ch/diakonie-oesterreich-warnt-vor-zunehmender-altersdiskriminierung/ Diakonie Schweiz urn:uuid:2feb85ec-d965-cd89-9c82-9851c2b0338a Fri, 03 Oct 2025 06:56:45 +0200 Zum Internationalen Tag der älteren Menschen kritisiert die Diakonie Österreich negative Altersbilder und fordert politische Massnahmen für mehr Selbständigkeit im Alter. <p>Die Diakonie Österreich mahnt anlässlich des Internationalen Tags der älteren Menschen zu einem Umdenken im Blick auf Alter und Altern. Laut ihrer Pressemitteilung vom 26. September 2025 würden Seniorinnen und Senioren im öffentlichen Diskurs «zunehmend als Problem und nicht zu bewältigender Kostenfaktor» dargestellt. Das sei eine gefährliche Entwicklung, weil negative Altersbilder die Lebensqualität und, wie betont wird, sogar nachweislich die Gesundheit beeinträchtigten. «Wir werden älter und das ist gut so,» wird Diakonie-Direktorin Maria Katharina Moser zitiert. Es brauche eine Sichtbarmachung der Beiträge, die Menschen im höheren Lebensalter für die Gesellschaft leisteten, etwa bei der Kinderbetreuung, im freiwilligen Engagement oder in der Pflege von Angehörigen, heisst es weiter. Abwertende Darstellungen hätten zur Folge, dass sich ältere Menschen aus dem öffentlichen Leben zurückzögen, so die Diakonie. «Abwertende Bilder bergen die Gefahr, dass sich ältere Menschen zurückziehen aus der Gesellschaft,» sagt Moser; dieser Rückzug erhöhe das Risiko für Einsamkeit und verringere körperliche wie geistige Aktivität, was sich wiederum ungünstig auf Gesundheit und Lebenserwartung auswirke.</p> <p>Statt den demographischen Wandel moralisch zu problematisieren, plädiert die Diakonie Österreich für politische Rahmenbedingungen, die gesundes und selbständiges Leben im Alter begünstigen. «Wir dürfen nicht einfach den alten Menschen den Schwarzen Peter zuschieben», so Moser. Das österreichische Gesundheits- und Pflegesystem weise Lücken auf, welche Prävention und Selbständigkeit erschwerten. Konkret kritisiert die Diakonie, dass die Community Nurses nur punktuell weitergeführt worden seien und gesundheitserhaltende Therapien kaum finanziert würden. «Besonders fatal,» so Moser, «ist es, wenn Menschen zu lange im Krankenhaus leben müssen, weil es keine Pflegeplätze gibt, oder wenn sie nur wegen fehlender mobiler Remobilisation ins Pflegeheim übersiedeln müssen.»</p> <p>Als Antwort fordert die Diakonie eine rasche, flächendeckende Umsetzung von Unterstützungsangeboten, die Selbständigkeit erhalten und fördern. Dazu gehöre auch eine Anpassung des Pflegegeld-Systems, das derzeit erst greife, wenn bereits Defizite vorlägen. Die Organisation setzt auf «Sozialräume», in denen Unterstützung zwischen Familie und Institution organisiert werde. Genannt werden Wohnformen mit Sozialraumkoordination sowie niederschwellige Alltags-Angebote, darunter das Projekt «Allfred» des Diakoniewerks, und die Stärkung freiwilligen Engagements, etwa bei «Plaudertischerln» oder Besuchsdiensten. Insgesamt drängt die Diakonie Österreich darauf, ältere Menschen in möglichst vielen gesellschaftlichen Bereichen aktiv einzubinden – ausdrücklich auch dann, wenn altersbedingte Einschränkungen das Leben behindern. Die Botschaft zum 1. Oktober lautet somit: Altersdiskriminierung abbauen, Ressourcen anerkennen und durch verlässliche Strukturen vorbeugend handeln.</p> Nachwuchs für kirchliche Berufe: Zentralschweizer Reformierte setzen auf gemeinsame Förderung https://diakonie.ch/nachwuchs-fuer-kirchliche-berufe-zentralschweizer-reformierte-setzen-auf-gemeinsame-foerderung/ Diakonie Schweiz urn:uuid:3d49e945-957d-d7d0-c821-c129f03d39c6 Thu, 02 Oct 2025 07:12:59 +0200 Die sechs reformierten Landeskirchen der Zentralschweiz schaffen eine Stelle zur Nachwuchsförderung. Matthias Ammann übernimmt die Projektleitung und startet mit Analyse, Netzwerkaufbau und Sichtbarkeitsprojekten. <p>Die reformierten Landeskirchen der sechs Zentralschweizer Kantone Luzern, Nidwalden, Obwalden, Schwyz, Uri und Zug bündeln ihre Kräfte, um kirchliche Berufe sichtbarer zu machen und Interessierte gezielter anzusprechen. Für dieses Vorhaben wurde eine gemeinsame Projektstelle geschaffen. Ziel sei es, die Ausbildungspfade, Tätigkeitsfelder und Perspektiven in der reformierten Kirche der Schweiz klarer zu vermitteln und die Verantwortlichen in Kirchgemeinden und Bezirken besser zu vernetzen. Dies geht aus einer Veröffentlichung der Evangelisch-reformierten Kantonalkirche des Kantons Schwyz hervor.</p> <p>Zum Projektstart nimmt Stelleninhaber Matthias Ammann eine Bestandsaufnahme vor und vergleicht Ist- und Soll-Situation der Ausbildungsplätze. Parallel sucht er den Austausch mit Verantwortlichen im Bereich Ausbildung in den Kirchgemeinden und Bezirken. Die Zentralschweizer Reformierten nennen als Zeithorizont die Jahre 2025 bis 2027. Ein zentraler Baustein ist gemäss Mitteilung eine digitale Plattform, welche Berufe und Ausbildungswege erlebbar machen soll. Die Landeskirchen und Kirchgemeinden sollen dort Einblicke ermöglichen, etwa indem Interessierte Pfarrerinnen oder Pfarrer in Teilbereichen begleiten können—von der Vorbereitung einer Taufe oder Trauung über Abdankungen bis hin zu Gottesdiensten, Besuchen im Alterszentrum oder einem Seelsorgegespräch.</p> <p>«Wichtig für die Reformierten Landeskirchen ist die Präsenz da, wo sich Interessierte aufhalten. Zudem ist es von Bedeutung, Jugendliche und Erwachsene laufend auf die besagten Berufe und die kirchlichen Leistungen aufmerksam zu machen», heisst es. Das Vorhaben ziele darauf, nicht nur Informationsangebote zu schaffen, sondern deren Reichweite und Wirkung fortlaufend zu prüfen. Für die reformierten Landeskirchen der Zentralschweiz verbindet das Projekt damit strategische Nachwuchsarbeit mit konkreten Erlebnismöglichkeiten, um junge Menschen und berufserfahrene Quereinsteigerinnen und Quereinsteiger gleichermassen anzusprechen.</p> Journal NOU(S)VELLES – septembre 2025 https://csp.ch/neuchatel/journal-des-nousvelles-de-septembre-2025/ CSP Neuchâtel urn:uuid:0df94989-673d-c164-7645-1fb5728cb909 Wed, 01 Oct 2025 14:53:57 +0200 <p>Ce numéro met en lumière les paradoxes d’une administration de plus en plus numérisée et déshumanisée, et rappelle l’importance d’un accompagnement humain, solidaire et personnalisé. ÉDITO – Une administration qui crée des besoins au lieu d’y répondre Bastienne Joerchel, présidente du CSP, dénonce la complexité des démarches qui exclut les plus fragiles. Le CSP accompagne [&#8230;]</p> <p>Cet article <a href="https://csp.ch/neuchatel/journal-des-nousvelles-de-septembre-2025/">Journal NOU(S)VELLES &#8211; septembre 2025</a> est apparu en premier sur <a href="https://csp.ch/neuchatel">CSP Neuchâtel</a>.</p> <p data-start="178" data-end="564">Ce numéro met en lumière les paradoxes d’une administration de plus en plus numérisée et déshumanisée, et rappelle l’importance d’un accompagnement humain, solidaire et personnalisé.</p> <h4 data-start="234" data-end="311">ÉDITO – Une administration qui crée des besoins au lieu d’y répondre</h4> <p data-start="312" data-end="594">Bastienne Joerchel, présidente du CSP, dénonce la complexité des démarches qui exclut les plus fragiles. Le CSP accompagne les personnes « avec » elles, pour qu’elles retrouvent autonomie et accès à leurs droits.</p> <h4 data-start="601" data-end="646">DOSSIER – L’Administration anxiogène</h4> <p data-start="648" data-end="974"><strong data-start="648" data-end="684">Phobie ou folie administrative ?</strong><br data-start="684" data-end="687" />Les assistant·es sociaux·ales du CSP Genève décrivent un système absurde : formulaires, trop-perçus à rembourser, contradictions légales. Les bénéficiaires se sentent piégés et culpabilisés.</p> <p data-start="976" data-end="1287"><strong data-start="976" data-end="1028">Témoignage – Le syndrome de la boîte aux lettres</strong><br data-start="1028" data-end="1031" />Marie* n’osait plus ouvrir son courrier par peur des factures. L’accompagnement du CSP Berne-Jura l’aide à trier ses papiers, revoir son budget et reprendre confiance.</p> <p data-start="1289" data-end="1713"><strong data-start="1289" data-end="1360">Quand la paperasse tétanise</strong><br data-start="1360" data-end="1363" />Des expert·es du CHUV expliquent la « phobie administrative » : peur paralysante face aux démarches, souvent déclenchée par un divorce, une maladie ou une perte d’emploi. L’accompagnement social permet de réduire l’angoisse et de regagner en autonomie.</p> <p data-start="1715" data-end="2112"><strong data-start="1715" data-end="1787">Complexité administrative et barrière de la langue : la double peine</strong><br data-start="1787" data-end="1790" />Pour les personnes migrantes, les courriers officiels sont encore plus incompréhensibles. Le CSP Neuchâtel propose des modules simples et visuels, afin de redonner du pouvoir d’agir progressivement.</p> <p data-start="2114" data-end="2492"><strong>Soutien face à la transition numérique</strong><br data-start="2176" data-end="2179" />Près d’un Suisse sur cinq souffre d’illectronisme. Le projet <strong data-start="1601" data-end="1626">« Riviera pour Vous »</strong> offre un espace d’aide neutre, avec ordinateurs, ateliers numériques et accompagnement. Objectif : limiter la fracture numérique et le non-recours aux droits.</p> <h4 data-start="2499" data-end="2548">ACTUALITÉS – Quoi de neuf dans les CSP ?</h4> <ul> <li data-start="1847" data-end="1955"><strong data-start="1847" data-end="1865">CSP Berne-Jura</strong> : nouveaux ateliers de bureautique et textile pour des personnes éloignées de l’emploi.</li> <li data-start="1847" data-end="1955"><strong data-start="1958" data-end="1970">CSP Vaud</strong> : Alexandre Cavin prend la présidence après 16 ans d’engagement d’Anne Baehler Bech.</li> <li data-start="1847" data-end="1955"><strong data-start="2060" data-end="2074">CSP Genève</strong> : soirée publique sur la traite des êtres humains le 13 novembre 2025 à Carouge, avec débat, exposition BD et apéritif.</li> </ul> <p>Bonne lecture!</p> <p>Cet article <a href="https://csp.ch/neuchatel/journal-des-nousvelles-de-septembre-2025/">Journal NOU(S)VELLES &#8211; septembre 2025</a> est apparu en premier sur <a href="https://csp.ch/neuchatel">CSP Neuchâtel</a>.</p> „KI und Diakonie“: Wie digitale Assistenten die Praxis stärken und wo Grenzen bleiben https://diakonie.ch/ki-und-diakonie-wie-digitale-assistenten-die-praxis-staerken-und-wo-grenzen-bleiben/ Diakonie Schweiz urn:uuid:db9c0e4c-96b0-1395-0fed-9c952747bad0 Wed, 01 Oct 2025 08:48:58 +0200 In der Online-Weiterbildung der Diakonie Schweiz führt Antonia Zahner praxisnah in KI Werkzeuge ein und orientiert über Nutzen und Risiken. <p>Die Diakonie Schweiz rückt mit der neuen Online-Weiterbildungsreihe „Diakonie und KI“ ein Thema ins Zentrum, das den Berufsalltag von Sozialdiakoninnen und Sozialdiakonen, Pfarrpersonen und Mitarbeitenden in kirchlichen Werken bereits spürbar verändert. Ziel ist es, Grundlagen der Künstlichen Intelligenz verständlich zu machen, erste Anwendungsfelder im Alltag und im sozialfachlichen Kontext zu erschliessen sowie Chancen und Herausforderungen interdisziplinär zu diskutieren. Die Reihe läuft von August 2025 bis Januar 2026. Modul 2 wurde von Antonia Zahner gestaltet, Inhaberin von „Blickpunkt Kommunikation“. Sie führte die Teilnehmenden mit einem klaren Praxisfokus durch Text‑ und Bildwerkzeuge – mit Schwerpunkt auf ChatGPT und gängige Bildgeneratoren – und liess die Anwendungen in Gruppenarbeit erproben.</p> <h3>Vom Alltagsnutzen bis zur Ethik</h3> <p>Zahner ordnet zu Beginn den Stand der Dinge: KI‑Tools werden nicht nur im Büroalltag, sondern „immer mehr als Coach und für Privates genutzt“, wie eine Folie pointiert festhält. Sie plädiert für einen gelassenen, aber strukturierten Einstieg – und warnt vor Effekthascherei. Die „Gefahr“ von FOMO („Fear of missing out“) und FOBO („Fear of better option“) gehöre zum neuen Werkzeugkasten, die Antwort bestehe in kluger Reduktion auf wenige, tragfähige Tools und in sauberem Vorgehen beim Prompting. In einem der zentralen Leitsätze fasst Zahner zusammen: „Nutzen Sie KI-Tools als Co-Piloten nicht als Auto-Piloten.“</p> <p>Zahner zeigt die Bandbreite der Einsatzgebiete: Texte entwerfen, korrigieren, zusammenfassen und übersetzen; Recherchen anstossen und strukturieren; Material für Unterricht, Projekte und Veranstaltungen vorbereiten; Workflows in Kommunikation und Administration beschleunigen; Bildideen ausarbeiten und Bildmaterial gestalten, inklusive Transformation hochgeladener Fotos. Die Beispiele reichen von Predigt‑Skizzen, FAQ‑Entwürfen und Einladungen über Redaktionspläne bis zu Bildstrecken für die Kinder‑ und Jugendarbeit. Gleichzeitig macht sie die Grenzen transparent: Sprachmodelle können mit Richtigkeit, Ironie, emotionalem Verständnis und Domänenkenntnis ringen; sie besitzen keine „menschlichen Recherchefähigkeiten“, treffen Annahmen und stellen ohne Aufforderung „keine Fragen“. Dagegen helfe strukturiertes Prompting, die bewusste Modellwahl und ein sauberer Faktencheck, idealerweise mit KI‑gestützter Suche und verifizierbaren Quellen.</p> <h3><strong>Nutzung nimmt zu – in Kirche und Gesellschaft</strong></h3> <p>Ein Diagramm in Zahners Foliensatz veranschaulicht die Dynamik: Die Nutzung von KI‑Tools ist verbreitet, Jüngere greifen häufiger und breiter zu als Ältere. Diese Beobachtungen decken sich mit Schweizer Daten zur allgemeinen Nutzung: Eine Studie der Universität Zürich (IKMZ) im Rahmen des World Internet Project berichtet, dass 2024 bereits 54 Prozent der Schweizer Internetnutzenden KI‑Tools verwendet haben – ein Anstieg um 17 Prozentpunkte gegenüber 2023; fast alle (98 Prozent) haben von KI‑Tools gehört.</p> <p>Europaweit belegt Eurostat den Schub bei Unternehmen: Nutzen 2023 erst 8 Prozent der EU‑Firmen KI, waren es 2024 bereits 13,5 Prozent; in grossen Unternehmen lag der Anteil 2024 bei gut 41 Prozent. Frankreich meldet für 2024 in der Unternehmenslandschaft „eine von zehn“ Firmen mit KI‑Einsatz; Österreich verzeichnete zwischen 2023 und 2024 beinahe eine Verdopplung von 11 auf 20 Prozent. In Deutschland schliesslich zeigt die jüngste Bitkom‑Befragung: Rund 36 Prozent der Unternehmen setzen inzwischen KI ein, nach 20 Prozent im Vorjahr.</p> <p>Für die Schweiz lassen sich – neben Bevölkerungsdaten – Hinweise aus der KMU‑Arbeitsmarktstudie von AXA ablesen: Demnach hatten 2024 „mehr als die Hälfte“ der Schweizer KMU KI bereits in Arbeitsprozesse integriert, was den praktischen Charakter vieler Anwendungsfälle illustriert, von Prozessautomatisierung bis Kundenkontakt. Ein wirtschaftlicher Blick ergänzt das Bild: Studien veranschlagen für generative KI ein beträchtliches Wertschöpfungspotenzial – die Implement Consulting Group etwa schätzt den möglichen Beitrag zum BIP der Schweiz binnen zehn Jahren auf 80 bis 85 Milliarden Franken.</p> <h3><strong>„KI ist wie E‑Bike fahren“: Haltung, Didaktik, Sicherheit</strong></h3> <p>Zahner nutzt ein eingängiges Bild: „KI ist wie E‑Bike fahren. KI ist Ihr Assistent, nicht Ihre Konkurrenz. Sparringspartner und Co‑Pilot. Delegieren Sie Aufgaben und konzentrieren Sie sich auf das, was Sie gerne machen.“ Die Didaktik ist klar: kleine Schritte, bewusste Modellwahl, einfache Prompts, dann verfeinern. Zugleich mahnt sie zur Sorgfalt im Datenschutz: In Gratis-Modellen sei „keine Nutzung mit Personendaten oder vertraulichen Daten“ angezeigt; Teams‑ und Enterprise‑Modelle böten hier bessere Vorkehrungen. Urheberrechtlich erinnert sie daran, dass es „keine Vereinheitlichung der rechtlichen Nutzungsmöglichkeiten von KI Tools“ gibt – die Regeln der einzelnen Dienste seien zu beachten.</p> <p>Dass Co‑Pilot‑Szenarien produktiver sind als reiner Auto‑Pilot, stützen auch externe Studien. Procter &amp; Gamble berichtet über ein Feldexperiment mit Forschenden der Harvard Business School und der Wharton School: Teams, die mit KI arbeiteten, waren rund 12 Prozent schneller; die besten Ergebnisse erzielte die Kombination aus menschlicher Zusammenarbeit und KI. Das korrespondiert mit weiteren Arbeiten zu Teamarbeit und Agenten‑Unterstützung, die Geschwindigkeits‑ und Qualitätsgewinne, aber auch die Notwendigkeit von AI‑Literacy und Supervision betonen. Für die diakonische Praxis heisst das: KI entfaltet ihren Nutzen dort, wo Fachlichkeit, Teamarbeit und Ethos den Rahmen setzen.</p> <h3><strong>Länderblick: Schweiz, Deutschland, Österreich, Frankreich</strong></h3> <p>Die Schweiz zeigt in der Bevölkerung eine rasche Diffusion von KI‑Werkzeugen und im KMU‑Segment eine hohe Bereitschaft zur Integration. Deutschland verzeichnet eine starke Trendwende in der Breite der Wirtschaft: Ein gutes Drittel der Unternehmen nutzt KI bereits, und die Zukunftserwartungen sind hoch. Österreich gelingt der Sprung in kurzer Zeit, insbesondere im Dienstleistungssektor, während Frankreich – gemessen an Unternehmensanteilen – 2024 noch zurückhaltender agiert, mit deutlicher Dynamik in IKT‑Branchen. Diese Unterschiede spiegeln regulatorische Rahmensetzungen, Investitionsklima, Branchenstruktur und Verfügbarkeit von Kompetenzen. Für die Diakonie bedeutet das: Lösungen müssen lokal verankert sein, europäische Good Practices lassen sich aber adaptieren – etwa bei barrierefreien Assistenzsystemen, Übersetzungstools oder Wissensorganisation im Sozialraum.</p> <h3><strong>Praxisfelder der Sozialdiakonie: Wo KI sofort hilft</strong></h3> <p>Im schweizerischen Kontext der Sozialdiakonie – einem Berufsfeld an der Schnittstelle von Kirche und Gesellschaft – eröffnen KI‑Werkzeuge konkrete Entlastungen. Zahners Beispiele zeigen, wie sich Korrespondenz, Protokolle, Übersetzungen und Dokumentationen schneller erstellen lassen; wie Unterrichtsmaterial, Gesprächsleitfäden und Workshop‑Konzepte entstehen; wie Bildideen für Flyer und Social‑Media‑Beiträge entstehen und wie komplexe Inhalte in einfache Sprache übertragen werden können. Hier kann KI helfen, Routine zu reduzieren und Zeit für Beziehungs‑ und Gemeinwesenarbeit zu gewinnen – immer mit der Prämisse, dass fachliche Qualität und Datenschutz gewahrt bleiben.</p> <p>Zahners Unterlagen setzen Leitplanken, die in diakonischen Organisationen verbindlich werden sollten: Training von Modellen, die mit vertraulichen Daten arbeiten, ist zu deaktivieren; personenbezogene Informationen gehören nicht in Tools ohne geeignete Schutzmechanismen; provisorische Chats und klare Datenkontrollen sind zu nutzen. Wichtig ist die juristische Vorsicht: „Jeder Service hat andere Angaben“, heisst es in den Folien mit Blick auf Urheber‑ und Nutzungsrechte. Damit verweist die Referentin auf eine Compliance‑Aufgabe, die über das Projekt hinausreicht: Kirchliche Trägerschaften brauchen klare Richtlinien, Schulungen und einen verlässlichen Support, um verantwortliche KI‑Nutzung zu sichern.</p> <p>Der produktive Umgang mit KI beginnt bei Haltung und Handwerk. Zahner empfiehlt ein Briefing‑Vorgehen an Sprachmodelle – präzise Rolle, Instruktion, Format und Anforderungen –, weil dies „Qualität und Konsistenz“ sichert. Ihr Appell an die Teilnehmenden: klein anfangen, Feedback geben, Tonalitäten und Zielgruppen benennen, Gegenargumente einfordern, Formate definieren. Das ist nicht nur effizient, sondern pädagogisch wertvoll: Die Fachperson bleibt am Steuer, reflektiert Quellen und trifft Entscheidungen. Externe Studien zeigen, dass sich die Nutzungsmuster erweitern – weg von rein technischen hin zu stärker persönlichen und coachenden Anwendungen. Das erklärt, warum Neugier und Skepsis in den Teams parallel wachsen – und warum es AI‑Literacy als Querschnittskompetenz braucht.</p> <h3><strong>Der europäische Diakonie‑Kontext: Digitalisierung mit Augenmass</strong></h3> <p>Eurodiaconia, der gesamteuropäische Diakonie‑Dachverband, verweist in einem aktuellen Report darauf, dass Digitalisierung und KI die Organisation sozialer Dienste grundlegend verändern. Chancen liegen in Zugänglichkeit, Personalisierung und Effizienz; Risiken in Bias, Zugangsungleichheiten und Unterfinanzierung passgenauer Lösungen. Ergänzend mahnt die European Association of Service providers for Persons with Disabilities (EASPD), KI im Sozialbereich menschenzentriert und barrierefrei zu gestalten – mit strengen Anforderungen an Datenschutz, Transparenz und Co‑Design. Für die schweizerische Sozialdiakonie heisst das: Technikeinsatz folgt dem Menschenbild und den professionellen Standards; KI bleibt Werkzeug im Dienst der Teilhabe.</p> <p>Nach intensiven Stunden in Modul 2 ist deutlich: KI kann Schreib‑, Recherche‑ und Gestaltungsarbeit spürbar erleichtern, die interne Kollaboration verbessern und Materialien schneller verfügbar machen. Gleichzeitig verlangt sie der Diakonie neue Fähigkeiten ab – im Faktencheck, in der Moderation von Erwartungen und in der souveränen Handhabung sensibler Daten. Sinnvoll ist der Einstieg über wenige, verlässliche Werkzeuge, klare Rollen und iterative Arbeit. Die besten Ergebnisse entstehen dort, wo Teamarbeit, Ethik und Technik zusammenfinden. Zahners Leitsatz bringt es auf den Punkt: „KI ist wie E‑Bike fahren“ – wer die Unterstützung beherrscht, kommt mit weniger Kraftaufwand weiter, bleibt aber selbst die Fahrerin oder der Fahrer.</p> Événement 13 novembre 2025 https://csp.ch/geneve/13-novembre-2025/ CSP Genève urn:uuid:673368f3-261c-03c3-46d9-89d87ee9ab8d Mon, 29 Sep 2025 15:16:13 +0200 <p>Cet article <a href="https://csp.ch/geneve/13-novembre-2025/">Événement 13 novembre 2025</a> est apparu en premier sur <a href="https://csp.ch/geneve">CSP Genève</a>.</p> <div class="wpb-content-wrapper"><div class="vc_row wpb_row vc_row-fluid"><div class="wpb_column vc_column_container vc_col-sm-12"><div class="vc_column-inner"><div class="wpb_wrapper"> <div class="wpb_text_column wpb_content_element" > <div class="wpb_wrapper"> <p>Une soirée pour comprendre et agir contre la traite des êtres humains.</p> <blockquote><p> De plus en plus de victimes de traite sont identifiées. L&rsquo;expertise de spécialistes est indispensable pour les soutenir. </p></blockquote> <p>Leila Boussemacer, avocate au Service d&rsquo;assistance aux victimes de traite</p> <p>Depuis plus de 10 ans, le CSP Genève accompagne des victimes de traite des êtres humains en leur offrant un soutien juridique, social et humain. L’information et la sensibilisation jouent un rôle essentiel pour lutter contre ce fléau.</p> </div> </div> <div class="vc_btn3-container vc_btn3-center vc_do_btn" ><a class="vc_general vc_btn3 vc_btn3-size-lg vc_btn3-shape-rounded vc_btn3-style-modern vc_btn3-color-warning" href="https://infomaniak.events/fr-ch/shop/traite-des-etres-humains-rendre-visible-linvisible-CQ9KJ6Q3K7" title="">S'inscrire</a></div> <div class="wpb_text_column wpb_content_element" > <div class="wpb_wrapper"> <h3><span style="color: #f4960f"><strong>PROGRAMME</strong></span></h3> <ul> <li><strong>18h00</strong> <strong>Accueil avec une verrée</strong></li> <li><strong>18h30 Allocutions</strong></li> </ul> <p style="padding-left: 40px"><em>Carole-Anne Kast, conseillère d&rsquo;État (DIN)</em><br /> <em>Elisabeth Tripod-Fatio, présidente</em><br /> <em>Alain Bolle, directeur</em></p> <ul> <li><b>18h45 </b><strong>La TEH à Genève : quelle protection pour les victimes ?</strong></li> </ul> <p style="padding-left: 40px">Échanges animé par Anne-Frédérique Widmann, journaliste RTS et réalisatrice</p> <ul> <li><strong>19h30 </strong><strong>Vernissage des posters BD </strong>réalisés par Herji, Kalonji et Wazem</li> </ul> <p style="padding-left: 40px">Trois dessinateurs genevois illustrent des cas inspirés de faits réels.</p> <ul> <li><strong>19h45</strong> <strong>Apéritif dînatoire</strong> et temps d’échange</li> </ul> </div> </div> <div class="vc_btn3-container vc_btn3-center vc_do_btn" ><a class="vc_general vc_btn3 vc_btn3-size-lg vc_btn3-shape-rounded vc_btn3-style-modern vc_btn3-color-warning" href="https://infomaniak.events/fr-ch/shop/traite-des-etres-humains-rendre-visible-linvisible-CQ9KJ6Q3K7" title="">S'inscrire</a></div><div class="wpb_gmaps_widget wpb_content_element vc_map_responsive"><div class="wpb_wrapper"><div class="wpb_map_wraper"><iframe loading="lazy" src="https://maps.google.com/maps?q=Salle%20des%20F%C3%AAtes%20de%20Carouge%2C%20rue%20ancienne%2037%2C%201227%20Carouge&#038;t=m&#038;z=10&#038;output=embed&#038;iwloc=near" title="Salle des Fêtes de Carouge, rue ancienne 37, 1227 Carouge" aria-label="Salle des Fêtes de Carouge, rue ancienne 37, 1227 Carouge" ></iframe></div></div></div> <div class="wpb_text_column wpb_content_element" > <div class="wpb_wrapper"> <h3><span style="color: #f4960f"><strong>Partenaires </strong></span></h3> <hr /> <h3></h3> </div> </div> </div></div></div></div><div class="vc_row wpb_row vc_row-fluid"><div class="wpb_column vc_column_container vc_col-sm-6"><div class="vc_column-inner"><div class="wpb_wrapper"> <div class="wpb_single_image wpb_content_element vc_align_left wpb_content_element"> <figure class="wpb_wrapper vc_figure"> <div class="vc_single_image-wrapper vc_box_border_grey"><img fetchpriority="high" decoding="async" width="1024" height="357" src="https://csp.ch/wp-content/uploads/sites/5/2025/09/LoRo-LogoBeneficiaires-CMJN-1024x357.jpg" class="vc_single_image-img attachment-large" alt="" title="LoRo-LogoBeneficiaires-CMJN" srcset="https://csp.ch/wp-content/uploads/sites/5/2025/09/LoRo-LogoBeneficiaires-CMJN-1024x357.jpg 1024w, https://csp.ch/wp-content/uploads/sites/5/2025/09/LoRo-LogoBeneficiaires-CMJN-300x105.jpg 300w, https://csp.ch/wp-content/uploads/sites/5/2025/09/LoRo-LogoBeneficiaires-CMJN-768x268.jpg 768w, https://csp.ch/wp-content/uploads/sites/5/2025/09/LoRo-LogoBeneficiaires-CMJN-1536x536.jpg 1536w, https://csp.ch/wp-content/uploads/sites/5/2025/09/LoRo-LogoBeneficiaires-CMJN-2048x714.jpg 2048w, https://csp.ch/wp-content/uploads/sites/5/2025/09/LoRo-LogoBeneficiaires-CMJN-495x173.jpg 495w, https://csp.ch/wp-content/uploads/sites/5/2025/09/LoRo-LogoBeneficiaires-CMJN-740x258.jpg 740w" sizes="(max-width: 1024px) 100vw, 1024px" /></div> </figure> </div> </div></div></div><div class="wpb_column vc_column_container vc_col-sm-6"><div class="vc_column-inner"><div class="wpb_wrapper"> <div class="wpb_single_image wpb_content_element vc_align_left wpb_content_element"> <figure class="wpb_wrapper vc_figure"> <div class="vc_single_image-wrapper vc_box_border_grey"><img decoding="async" class="vc_single_image-img " src="https://csp.ch/wp-content/uploads/sites/5/2024/11/PG_PHASE_LOGO_RGB_HR-110x110.jpg" width="110" height="110" alt="Print" title="Print" loading="lazy" /></div> </figure> </div> </div></div></div></div> </div><p>Cet article <a href="https://csp.ch/geneve/13-novembre-2025/">Événement 13 novembre 2025</a> est apparu en premier sur <a href="https://csp.ch/geneve">CSP Genève</a>.</p> Les Nouvelles de septembre 2025 : l’administration anxiogène https://csp.ch/berne-jura/les-nouvelles-de-septembre-2025-ladministration-anxiogene-2/ CSP Berne-Jura urn:uuid:aa15d52e-351f-9582-1576-6898521040f7 Mon, 29 Sep 2025 11:37:38 +0200 <p>Le dossier central du numéro commun des Nouvelles des 4 CSP met en lumière ce que rencontrent de nombreuses personnes fragilisées : des démarches administratives opaques, des formulaires numériques difficiles à manier, un langage institutionnel obscur, etc. Face à ces obstacles, l’accompagnement &#8211; faire « avec » la personne, pas « à sa place » [&#8230;]</p> <p>Cet article <a href="https://csp.ch/berne-jura/les-nouvelles-de-septembre-2025-ladministration-anxiogene-2/">Les Nouvelles de septembre 2025 : l’administration anxiogène</a> est apparu en premier sur <a href="https://csp.ch/berne-jura">CSP Berne-Jura</a>.</p> <div class="wpb-content-wrapper"><article id="post-26828" class="post-26828 post type-post status-publish format-standard has-post-thumbnail hentry category-journal-du-csp-vaud-nouvelles"> <div class="entry-content"> <div class="wpb-content-wrapper"> <div class="vc_row wpb_row vc_row-fluid"> <div class="wpb_column vc_column_container vc_col-sm-12"> <div class="vc_column-inner"> <div class="wpb_wrapper"> <div class="wpb_text_column wpb_content_element"> <div class="wpb_wrapper"> <p><strong>Le dossier central du numéro commun des <em>Nouvelles</em> des 4 CSP met en lumière ce que rencontrent de nombreuses personnes fragilisées : des démarches administratives opaques, des formulaires numériques difficiles à manier, un langage institutionnel obscur, etc. Face à ces obstacles, l’accompagnement &#8211; faire « avec » la personne, pas « à sa place » &#8211; apparaît comme un ressort essentiel du travail social.</strong></p> <article id="post-26828" class="post-26828 post type-post status-publish format-standard has-post-thumbnail hentry category-journal-du-csp-vaud-nouvelles"> <div class="entry-content"> <div class="wpb-content-wrapper"> <div class="vc_row wpb_row vc_row-fluid"> <div class="wpb_column vc_column_container vc_col-sm-12"> <div class="vc_column-inner"> <div class="wpb_wrapper"> <div class="wpb_text_column wpb_content_element"> <div class="wpb_wrapper"> <p data-start="682" data-end="706">Les thématiques qu’aborde cette édition sont les suivantes:</p> <ul data-start="708" data-end="1494"> <li data-start="708" data-end="976"> <p data-start="710" data-end="976"><strong data-start="710" data-end="740">La « phobie administrative »</strong> <strong>:</strong> dans ce numéro, nous décryptons les différentes réalités que recouvre le terme de phobie administrative, une anxiété parfois paralysante vis-à-vis des démarches à entreprendre. Deux professionnel·les analysent les sources du phénomène (peur de mal faire, complexité, manque d’information) et les profils à risque. Un témoignage  illustre ces enjeux : celui de « Marie » (pseudonyme), dont les difficultés à gérer son courrier et ses dettes l’ont conduite au repli, et qui a pu, grâce à un accompagnement professionnel régulier, reprendre progressivement le contrôle sur son administratif.</p> </li> <li data-start="977" data-end="1203"> <p data-start="979" data-end="1203"><strong data-start="979" data-end="1027">Barrières linguistiques &amp; fracture numérique</strong> : pour les personnes ne maîtrisant pas bien le français ou les outils numériques, les obstacles se multiplient et renforcent l’isolement. Deux articles thématisent ces questions.</p> </li> <li data-start="1204" data-end="1494"> <p data-start="1206" data-end="1494"><strong data-start="1206" data-end="1241">Le rôle des CSP dans ce contexte</strong> : offrir des points de repère, clarifier les démarches et la terminologie, accompagner, agir comme médiateur — sans jamais remplacer la personne dans ses responsabilités, mais pour lui redonner de la lisibilité et de l’autonomie.</p> </li> </ul> <p data-start="1496" data-end="1801"><span class="" data-state="closed">Bonne lecture !</span></p> </div> </div> </div> </div> </div> </div> </div> </div> </article> </div> </div> </div> </div> </div> </div> </div> </div> </article> <p><a href="https://csp.ch/wp-content/uploads/sites/6/2025/09/WEB-JOURNAL_CSP-CAMPAGNE-09-2025.pdf" target="_blank" rel="noopener">Les Nouvelles de septembre 2025</a></p> </div><p>Cet article <a href="https://csp.ch/berne-jura/les-nouvelles-de-septembre-2025-ladministration-anxiogene-2/">Les Nouvelles de septembre 2025 : l’administration anxiogène</a> est apparu en premier sur <a href="https://csp.ch/berne-jura">CSP Berne-Jura</a>.</p> Les Nouvelles de septembre 2025 : l’administration anxiogène https://csp.ch/vaud/les-nouvelles-de-septembre-2025-ladministration-anxiogene/ CSP Vaud urn:uuid:f179f296-7dd7-a9b6-8df8-c95d7209bc32 Thu, 25 Sep 2025 09:41:49 +0200 <p>Cet article <a href="https://csp.ch/vaud/les-nouvelles-de-septembre-2025-ladministration-anxiogene/">Les Nouvelles de septembre 2025 : l&rsquo;administration anxiogène</a> est apparu en premier sur <a href="https://csp.ch/vaud">CSP Vaud</a>.</p> <div class="wpb-content-wrapper"><div class="vc_row wpb_row vc_row-fluid"><div class="wpb_column vc_column_container vc_col-sm-12"><div class="vc_column-inner"><div class="wpb_wrapper"> <div class="wpb_text_column wpb_content_element" > <div class="wpb_wrapper"> <p data-start="213" data-end="680"><strong>Le dossier central de ce troisième numéro de l&rsquo;année met en lumière ce que rencontrent de nombreuses personnes fragilisées : des démarches administratives opaques, des formulaires numériques difficiles à manier, un langage institutionnel obscur, etc. Face à ces obstacles, l’accompagnement — faire « avec » la personne, pas « à sa place » — apparaît comme un ressort essentiel du travail social.</strong></p> <p data-start="682" data-end="706">Les thématiques qu&rsquo;aborde cette édition sont les suivantes:</p> <ul data-start="708" data-end="1494"> <li data-start="708" data-end="976"> <p data-start="710" data-end="976"><strong data-start="710" data-end="740">La « phobie administrative »</strong> <strong>:</strong> dans ce numéro, nous décryptons les différentes réalités que recouvre le terme de phobie administrative, une anxiété parfois paralysante vis-à-vis des démarches à entreprendre. Deux professionnel·les analysent les sources du phénomène (peur de mal faire, complexité, manque d’information) et les profils à risque. Un témoignage  illustre ces enjeux : celui de « Marie » (pseudonyme), dont les difficultés à gérer son courrier et ses dettes l’ont conduite au repli, et qui a pu, grâce à un accompagnement professionnel régulier, reprendre progressivement le contrôle sur son administratif.</p> </li> <li data-start="977" data-end="1203"> <p data-start="979" data-end="1203"><strong data-start="979" data-end="1027">Barrières linguistiques &amp; fracture numérique</strong> : pour les personnes ne maîtrisant pas bien le français ou les outils numériques, les obstacles se multiplient et renforcent l’isolement. Deux articles thématisent ces questions.</p> </li> <li data-start="1204" data-end="1494"> <p data-start="1206" data-end="1494"><strong data-start="1206" data-end="1241">Le rôle des CSP dans ce contexte</strong> : offrir des points de repère, clarifier les démarches et la terminologie, accompagner, agir comme médiateur — sans jamais remplacer la personne dans ses responsabilités, mais pour lui redonner de la lisibilité et de l’autonomie.</p> </li> </ul> <p data-start="1496" data-end="1801"><span class="" data-state="closed">Bonne lecture !</span></p> </div> </div> <div class="vc_btn3-container vc_btn3-inline vc_do_btn" ><a class="vc_general vc_btn3 vc_btn3-size-md vc_btn3-shape-rounded vc_btn3-style-modern vc_btn3-color-grey" href="https://csp.ch/wp-content/uploads/sites/4/2025/09/WEB-JOURNAL_CSP-CAMPAGNE-09-2025.pdf" title="" target="_blank">Lire les Nouvelles de septembre 2025 !</a></div></div></div></div></div> </div><p>Cet article <a href="https://csp.ch/vaud/les-nouvelles-de-septembre-2025-ladministration-anxiogene/">Les Nouvelles de septembre 2025 : l&rsquo;administration anxiogène</a> est apparu en premier sur <a href="https://csp.ch/vaud">CSP Vaud</a>.</p> Surendettement : une révision attendue de la Loi sur les poursuites https://csp.ch/geneve/surendettement-une-revision-attendue-de-la-loi-sur-les-poursuites-2/ CSP Genève urn:uuid:fa1f00b6-a1e3-85a9-ddfa-167b8d81230d Mon, 22 Sep 2025 14:02:38 +0200 <p>Cet article <a href="https://csp.ch/geneve/surendettement-une-revision-attendue-de-la-loi-sur-les-poursuites-2/">Surendettement : une révision attendue de la Loi sur les poursuites</a> est apparu en premier sur <a href="https://csp.ch/geneve">CSP Genève</a>.</p> <div class="wpb-content-wrapper"><div class="vc_row wpb_row vc_row-fluid"><div class="wpb_column vc_column_container vc_col-sm-12"><div class="vc_column-inner"><div class="wpb_wrapper"> <div class="wpb_text_column wpb_content_element" > <div class="wpb_wrapper"> <p>Le 25 septembre 2025, le Conseil national débattra de la révision de la loi sur la poursuite pour dettes et faillite (LP).<br data-start="365" data-end="368" />Les CSP de Suisse romande appellent à soutenir sans réserve ce projet du Conseil fédéral.</p> <p>Dans cette courte interview,  Rémy Kammerman, juriste au CSP Genève, répond à trois questions clés:</p> <ul> <li data-start="1065" data-end="1087"> <p data-start="1067" data-end="1087">Qui est concerné ?</p> </li> <li data-start="1088" data-end="1142"> <p data-start="1090" data-end="1142">Qu’est-ce qui empêche aujourd’hui de s’en sortir ?</p> </li> <li data-start="1143" data-end="1184"> <p data-start="1145" data-end="1184">Quelle solution propose la révision ?</p> </li> </ul> </div> </div> <div class="wpb_video_widget wpb_content_element vc_clearfix vc_video-aspect-ratio-169 vc_video-el-width-100 vc_video-align-center" > <div class="wpb_wrapper"> <div class="wpb_video_wrapper"><iframe title="Surendettement: pour une politique de la seconde chance" width="500" height="281" src="https://www.youtube.com/embed/Hky6EqtROqM?feature=oembed" frameborder="0" allow="accelerometer; autoplay; clipboard-write; encrypted-media; gyroscope; picture-in-picture; web-share" referrerpolicy="strict-origin-when-cross-origin" allowfullscreen></iframe></div> </div> </div> <div class="wpb_text_column wpb_content_element" > <div class="wpb_wrapper"> <p data-start="585" data-end="900">Aujourd’hui, la Suisse est l’un des rares pays d’Europe à ne pas offrir aux personnes privées surendettées une véritable voie de sortie. Résultat : des milliers de ménages restent prisonniers de dettes impossibles à rembourser, au détriment de leur santé, de leur vie sociale et de leur insertion professionnelle.</p> <p data-start="902" data-end="1231">Le projet de révision introduit une procédure inédite d’assainissement sur trois ans : les personnes qui remplissent les conditions pourront stabiliser leur budget et, au terme de la période, être libérées du solde de leurs dettes.</p> </div> </div> </div></div></div></div> </div><p>Cet article <a href="https://csp.ch/geneve/surendettement-une-revision-attendue-de-la-loi-sur-les-poursuites-2/">Surendettement : une révision attendue de la Loi sur les poursuites</a> est apparu en premier sur <a href="https://csp.ch/geneve">CSP Genève</a>.</p> Surendettement : une révision attendue de la Loi sur les poursuites https://csp.ch/neuchatel/surendettement-une-revision-attendue-de-la-loi-sur-les-poursuite/ CSP Neuchâtel urn:uuid:89ab1e4c-2595-5363-66f7-5ec16f86c1f7 Mon, 22 Sep 2025 11:21:11 +0200 <p>Le Conseil national débattra de la révision de la loi sur la poursuite pour dettes et faillite (LP) lors de sa session de décembre 2025. Les CSP de Suisse romande appellent à soutenir sans réserve ce projet du Conseil fédéral. Dans cette courte interview, Rémy Kammermann, juriste au CSP Genève, répond à trois questions clés: [&#8230;]</p> <p>Cet article <a href="https://csp.ch/neuchatel/surendettement-une-revision-attendue-de-la-loi-sur-les-poursuite/">Surendettement : une révision attendue de la Loi sur les poursuites</a> est apparu en premier sur <a href="https://csp.ch/neuchatel">CSP Neuchâtel</a>.</p> <div class="wpb-content-wrapper"><p>Le Conseil national débattra de la révision de la loi sur la poursuite pour dettes et faillite (LP) lors de sa session de décembre 2025.</p> <p>Les CSP de Suisse romande appellent à soutenir sans réserve ce projet du Conseil fédéral.</p> <div class="entry-content"> <div class="wpb-content-wrapper"> <div class="vc_row wpb_row vc_row-fluid"> <div class="wpb_column vc_column_container vc_col-sm-12"> <div class="vc_column-inner"> <div class="wpb_wrapper"> <div class="wpb_text_column wpb_content_element"> <p class="wpb_wrapper">Dans cette courte interview, Rémy Kammermann, juriste au CSP Genève, répond à trois questions clés:</p> <ul> <li data-start="1065" data-end="1087"> <p data-start="1067" data-end="1087">Qui est concerné ?</p> </li> <li data-start="1088" data-end="1142"> <p data-start="1090" data-end="1142">Qu’est-ce qui empêche aujourd’hui de s’en sortir ?</p> </li> <li data-start="1143" data-end="1184"> <p data-start="1145" data-end="1184">Quelle solution propose la révision ?</p> </li> </ul> <p>&nbsp;</p> <p><iframe title="Surendettement: pour une politique de la seconde chance" width="500" height="281" src="https://www.youtube.com/embed/Hky6EqtROqM?feature=oembed" frameborder="0" allow="accelerometer; autoplay; clipboard-write; encrypted-media; gyroscope; picture-in-picture; web-share" referrerpolicy="strict-origin-when-cross-origin" allowfullscreen></iframe></p> <p>&nbsp;</p> <p data-start="585" data-end="900">Aujourd’hui, la Suisse est l’un des rares pays d’Europe à ne pas offrir aux personnes privées surendettées une véritable voie de sortie. Résultat : des milliers de ménages restent prisonniers de dettes impossibles à rembourser, au détriment de leur santé, de leur vie sociale et de leur insertion professionnelle.</p> <p data-start="902" data-end="1231">Le projet de révision introduit une procédure inédite d’assainissement sur trois ans : les personnes qui remplissent les conditions pourront stabiliser leur budget et, au terme de la période, être libérées du solde de leurs dettes.</p> <p data-start="902" data-end="1231">Pour approfondir le sujet : <a href="https://csp.ch/geneve/surendettement-pour-une-politique-de-la-seconde-chance/">Surendettement: pour une politique de la seconde chance</a></p> </div> </div> </div> </div> </div> </div> </div> </div><p>Cet article <a href="https://csp.ch/neuchatel/surendettement-une-revision-attendue-de-la-loi-sur-les-poursuite/">Surendettement : une révision attendue de la Loi sur les poursuites</a> est apparu en premier sur <a href="https://csp.ch/neuchatel">CSP Neuchâtel</a>.</p> Surendettement: pour une politique de la seconde chance https://csp.ch/berne-jura/surendettement-pour-une-politique-de-la-seconde-chance/ CSP Berne-Jura urn:uuid:2d52a1b0-cd07-40a4-e4c0-7b603e29a665 Tue, 02 Sep 2025 15:14:26 +0200 <p>Chaque année, les quatre CSP de Suisse romande mettent en lumière une problématique tirée de leur expertise de terrain dans le cadre de leur campagne annuelle. Cette année, notre campagne coïncide avec le projet de révision de la loi fédérale sur les poursuites pour dettes et faillite. Experts reconnus dans l’aide au désendettement et le [&#8230;]</p> <p>Cet article <a href="https://csp.ch/berne-jura/surendettement-pour-une-politique-de-la-seconde-chance/">Surendettement: pour une politique de la seconde chance</a> est apparu en premier sur <a href="https://csp.ch/berne-jura">CSP Berne-Jura</a>.</p> <p>Chaque année, les quatre CSP de Suisse romande mettent en lumière une problématique tirée de leur expertise de terrain dans le cadre de leur campagne annuelle. Cette année, notre campagne coïncide avec le projet de révision de la loi fédérale sur les poursuites pour dettes et faillite.</p> <p><strong>Experts reconnus dans l’aide au désendettement et le soutien psychosocial aux personnes surendettées, les CSP font valoir ici leurs arguments en faveur de l’adoption de la révision proposée par le Conseil fédéral.</strong> Ils plaident en particulier pour une procédure d’assainissement limitée à trois ans, assortie d’un accompagnement professionnel indispensable pour permettre aux personnes de la traverser avec succès, souvent après des années de vie déjà soumises au minimum vital.</p> <h2><span style="color: #ff9900"><strong>Communiqué de presse</strong></span></h2> <p><strong>Le Conseil national se prononcera prochainement sur la révision de la loi sur la poursuite pour dettes et faillite. Les CSP de Suisse romande appellent à soutenir sans restriction le projet du Conseil fédéral. Basé sur une nouvelle approche du surendettement privé, pondéré et pragmatique, il apporte de vrais outils pour libérer les personnes concernées de l’impasse dans laquelle elles sont souvent plongées aujourd’hui.</strong></p> <p>Objet d’un large consensus, la révision de la loi sur les poursuites proposée par le Conseil fédéral est le fruit d’un processus de consultation approfondi, auquel les CSP de Suisse romande ont pris part par l’intermédiaire de la faîtière Dettes Conseils Suisse (DCS). <em>« Il s’agit d’un projet équilibré et nécessaire, solidement documenté et qui répond aux besoins des personnes concernées »</em>, relève la présidente de l’association CSP.ch, Bastienne Joerchel.</p> <p><strong>Aujourd’hui, tout le monde est perdant</strong></p> <p>On le sait, le phénomène du surendettement équivaut du fait des mécanismes existants en Suisse à une condamnation à perpétuité pour de nombreuses personnes concernées. Contrairement à la plupart des pays en Europe, il n’existe pas de procédure d’assainissement dans notre pays et la loi actuelle repose sur l’injonction, souvent impossible à réaliser, de rembourser intégralement ses dettes.</p> <p>Les ménages surendettés voient généralement leur situation se péjorer avec le temps. Sans l’intervention de services spécialisés, le poids des dettes s’alourdit. Le surendettement guette rapidement, enfermant les personnes dans une spirale qui ressemble fort à des sables mouvants.</p> <p>Vivre avec des dettes a des coûts importants en termes de désinsertion socioprofessionnelle et de santé. En précarisant les ménages concernés, le système actuel ne favorise ni les créanciers privés, dont les perspectives de remboursement ne s’améliorent guère avec le temps, ni les collectivités publiques, perdantes notamment en termes de rentrées fiscales.</p> <p><strong>Une nouvelle procédure d’assainissement</strong></p> <p>Parmi les solutions avancées dans la révision LP figure une procédure inédite de libération des dettes restantes, inspirée d’expériences similaires en Autriche et en Allemagne notamment. Elle s’adresse à des personnes lourdement surendettées et/ou durablement insolvables, qui n’ont aucun espoir de rembourser l’intégralité de leurs dettes. Une des conditions d’accès est d’avoir un budget à l’équilibre et de ne pas générer de nouvelles dettes tout au long de la procédure.</p> <p>L’accompagnement d’organisations expertes dans le désendettement et le soutien psychosocial aux personnes concernées s’avère essentiel dans ce sens. Il l’est également pour soutenir l’adhésion des personnes à une procédure qui, si elle leur permet d’entrevoir enfin le bout du tunnel, n’en demeure pas moins extrêmement astreignante, qui plus est après des années de vie déjà soumises au minimum vital.</p> <p><strong>Pour une durée de trois ans</strong></p> <p>L’étude d’impact réalisée dans le cadre de la révision LP démontre que l’allongement de la procédure au-delà de trois ans contreviendrait à son succès, sans augmenter notablement l’intérêt des créanciers. Ce serait méconnaître également la nature du projet du Conseil fédéral, qui permet de sortir d’une vision stérilement moralisatrice du surendettement privé. Enfin, une durée supérieure à trois ans compromet sérieusement les chances de réussite en augmentant les risques d’abandon en cours de procédure.</p> <p><strong>Les CSP de Suisse romande plaident sans réserve en faveur du projet de révision LP du Conseil fédéral.</strong></p> <p>&gt; <strong><span style="color: #ff9900"><a style="color: #ff9900" href="https://csp.ch/wp-content/uploads/sites/6/2025/09/CSP_DossierPresse_2septembre2025.pdf" target="_blank" rel="noopener">Lire notre dossier de presse</a></span></strong></p> <p>Cet article <a href="https://csp.ch/berne-jura/surendettement-pour-une-politique-de-la-seconde-chance/">Surendettement: pour une politique de la seconde chance</a> est apparu en premier sur <a href="https://csp.ch/berne-jura">CSP Berne-Jura</a>.</p> CP – Surendettement – pour une politique de la seconde chance https://csp.ch/geneve/cp-surendettement-pour-une-politique-de-la-seconde-chance/ CSP Genève urn:uuid:4ef78913-fac1-1ff6-1699-4a320473c6ad Tue, 02 Sep 2025 13:14:54 +0200 <p>Chaque année, les quatre CSP de Suisse romande mettent en lumière une problématique tirée de leur expertise de terrain dans le cadre de leur campagne annuelle. Cette année, notre campagne coïncide avec le projet de révision de la loi fédérale sur les poursuites pour dettes et faillite. Experts reconnus dans l’aide au désendettement et le [&#8230;]</p> <p>Cet article <a href="https://csp.ch/geneve/cp-surendettement-pour-une-politique-de-la-seconde-chance/">CP &#8211; Surendettement &#8211; pour une politique de la seconde chance</a> est apparu en premier sur <a href="https://csp.ch/geneve">CSP Genève</a>.</p> <p>Chaque année, les quatre CSP de Suisse romande mettent en lumière une problématique tirée de leur expertise de terrain dans le cadre de leur campagne annuelle. Cette année, notre campagne coïncide avec le projet de révision de la loi fédérale sur les poursuites pour dettes et faillite.</p> <p><strong>Experts reconnus dans l’aide au désendettement et le soutien psychosocial aux personnes surendettées, les CSP ont fait valoir lors de leur conférence de presse du 2 septembre 2025 leurs arguments en faveur de l’adoption de la révision proposée par le Conseil fédéral.</strong></p> <p>Ils plaident en particulier <strong>pour une procédure d’assainissement limitée à trois ans</strong>, assortie d’un accompagnement professionnel indispensable pour permettre aux personnes de la traverser avec succès, souvent après des années de vie déjà soumises au minimum vital.</p> <p>&gt; <span style="color: #f4960f"><a style="color: #f4960f" href="https://csp.ch/wp-content/uploads/sites/5/2025/09/CSP_DossierPresse_2septembre2025.pdf"><strong>Lire notre dossier de presse</strong></a></span></p> <p>&nbsp;</p> <h2><span style="color: #f4960f"><strong>Revue de presse</strong></span></h2> <ul> <li><a href="https://lecourrier.ch/2025/09/02/dettes-sortir-la-tete-de-leau/"><strong>Dettes: sortir la tête de l’eau </strong>&#8211; Le Courrier &#8211; 02.09.25</a></li> <li><a href="https://www.tdg.ch/endettement-un-front-romand-se-forme-pour-reviser-la-poursuite-320453977848"><strong>Face au surendettement, des associations romandes réclament des changements</strong> &#8211; Tribune de Genève &#8211; 02.09.25</a></li> <li><a href="https://www.letemps.ch/suisse/les-personnes-surendettees-pourraient-bientot-voir-leur-ardoise-effacee-en-suisse-une-revolution-attendue-depuis-vingt-ans"><strong>Les personnes surendettées pourraient bientôt voir leur ardoise effacée en Suisse, une révolution attendue depuis vingt ans</strong> &#8211; Le Temps &#8211; 02.09.25</a></li> <li><a href="https://www.lemanbleu.ch/fr/Actualites/Geneve/Le-CSP-soutient-une-revision-de-la-loi-contre-le-surendettement.html"><strong>Le CSP soutient une révision de la loi contre le surendettement</strong> &#8211; Léman Bleu &#8211; 02.09.25</a></li> <li><a href="https://www.evenement.ch/articles/offrir-une-seconde-chance-aux-menages-surendettes"><strong>Offrir une seconde chance aux ménages surendettés</strong> &#8211; L&rsquo;événement syndical &#8211; 03.09.25</a></li> </ul> <p>Cet article <a href="https://csp.ch/geneve/cp-surendettement-pour-une-politique-de-la-seconde-chance/">CP &#8211; Surendettement &#8211; pour une politique de la seconde chance</a> est apparu en premier sur <a href="https://csp.ch/geneve">CSP Genève</a>.</p> Surendettement : pour une politique de la seconde chance – conférence de presse des quatre CSP https://csp.ch/vaud/surendettement-pour-une-politique-de-la-seconde-chance/ CSP Vaud urn:uuid:6de27117-726d-ef3c-af96-c6d366632604 Tue, 02 Sep 2025 13:00:06 +0200 <p>Le mardi 2 septembre 2025, les quatre Centres sociaux protestants (CSP) — Genève, Neuchâtel, Berne-Jura et Vaud — ont organisé une conférence de presse commune. Ils y ont présenté leurs constats de terrain et leurs recommandations pour lutter contre le surendettement des personnes privées. Aujourd’hui, tout le monde est perdant En Suisse, plus de 500’000 [&#8230;]</p> <p>Cet article <a href="https://csp.ch/vaud/surendettement-pour-une-politique-de-la-seconde-chance/">Surendettement : pour une politique de la seconde chance &#8211; conférence de presse des quatre CSP</a> est apparu en premier sur <a href="https://csp.ch/vaud">CSP Vaud</a>.</p> <p>Le mardi 2 septembre 2025, les quatre Centres sociaux protestants (CSP) — Genève, Neuchâtel, Berne-Jura et Vaud — ont organisé une conférence de presse commune. Ils y ont présenté leurs constats de terrain et leurs recommandations pour lutter contre le surendettement des personnes privées.</p> <h4><strong>Aujourd’hui, tout le monde est perdant</strong></h4> <p>En Suisse, plus de <strong>500’000 personnes</strong> reçoivent chaque année un commandement de payer ou détiennent au moins un acte de défaut de biens. Faute de procédure légale pour assainir leur situation, beaucoup vivent au minimum vital pendant des années, voire des décennies, avec l’obligation, souvent impossible à réaliser, de devoir rembourser intégralement leurs dettes.</p> <p>Le système actuel ne profite à personne :</p> <ul> <li>Les <strong>personnes surendettées</strong> s’enfoncent dans la précarité, sont impactées en termes d’insertion socioprofessionnelle et voient leur santé se détériorer ;</li> <li>Les <strong>créanciers privés</strong> récupèrent rarement la totalité des montants dus ;</li> <li>Les <strong>collectivités publiques</strong> subissent des pertes fiscales importantes.</li> </ul> <h4><strong>Loi fédérale sur les poursuites et les faillites : vers une nouvelle procédure d’assainissement</strong></h4> <p>La révision actuelle de la Loi fédérale sur les poursuites et faillites (LP) sur laquelle le Conseil national devra se prononcer prochainement prévoit l’introduction d’une nouvelle procédure d’assainissement sur trois ans. Les personnes lourdement endettées, capables de respecter un budget équilibré et de ne pas contracter de nouvelles dettes, pourraient être libérées du solde de la dette restante au terme de cette période.</p> <p>Inspirée d’expériences similaires en Allemagne et en Autriche, cette réforme permettrait de redonner espoir à plusieurs milliers de personnes lourdement surendettées et/ou durablement insolvables en Suisse, qui, aujourd’hui, n’ont aucun espoir de rembourser l’intégralité de leurs dettes. Une des conditions d’accès est d’avoir un budget à l’équilibre et de ne pas générer de nouvelles dettes tout au long de la procédure.</p> <p>L’accompagnement d’organisations spécialisées dans le désendettement et le soutien psychosocial aux personnes concernées s’avère essentiel dans ce sens. Il l’est également pour soutenir l’adhésion des personnes à une procédure qui, si elle leur permet d’entrevoir enfin le bout du tunnel, n’en demeure pas moins extrêmement astreignante.</p> <p><strong>Pour ces raisons, les CSP de Suisse romande plaident sans réserve en faveur du projet de révision LP du Conseil fédéral.</strong></p> <hr /> <p><strong>Les recommandations des CSP</strong></p> <p>Les 4 CSP, parties prenantes à la phase de consultation par le biais de la faîtière Dettes Conseils Suisse (DCS) saluent la réforme proposée. Ils soulignent en particulier deux points essentiels :</p> <ul> <li><strong>Limiter la durée de la procédure à trois ans</strong> : concentrer l’effort sur une période limitée à 3 ans est une condition essentielle pour en assurer le succès. Au-delà, le risque d’abandon augmente et les chances de remboursement ne s’améliorent pas.</li> </ul> <ul> <li><strong>Garantir un accompagnement psychosocial</strong> : pour comprendre une procédure aussi complexe, encadrer et accompagner les démarches et éviter de nouvelles dettes, un soutien professionnel est indispensable.</li> </ul> <hr /> <p><strong>Une réforme qui bénéficie à toute la société</strong></p> <p>Pour les CSP, cette révision de la LP constitue une <strong>politique de la seconde chance</strong>. Elle réduirait la précarité, favoriserait la réinsertion sociale et professionnelle, et renforcerait la santé financière du pays.</p> <p>« Il s’agit d’un projet équilibré et nécessaire, qui répond enfin aux besoins réels des personnes concernées », souligne <strong>Bastienne Joerchel</strong>, présidente de CSP.ch.</p> <hr /> <p>Le journal des Nouvelles du CSP Vaud de <a href="https://csp.ch/wp-content/uploads/sites/4/2025/03/NOUVELLES-mars-2025-web.pdf">mars 2025</a> propose une introduction à la problématique du surendettement en Suisse, à travers des statistiques et ses impacts sur la santé, notamment. Le journal des Nouvelles de septembre 2025 (sortie prévue le 24 septembre), quant à lui, portera sur la « phobie administrative », comme l’une des conséquences du surendettement et comprend des témoignages de professionnel·le·s et d’usagères et usagers du CSP.</p> <p>Le <a href="https://csp.ch/wp-content/uploads/sites/4/2012/09/CSP_DossierPresse_2septembre2025_def.pdf" target="_blank" rel="noopener">Dossier de presse</a> contient toutes les informations présentées à la conférence de presse du 2 septembre 2025.</p> <p>Cette communication émane de <a href="https://csp.ch/">csp.ch</a>, l’association qui regroupe les quatre CSP de Genève, de Neuchâtel, de Berne-Jura et de Vaud.</p> <p>Cet article <a href="https://csp.ch/vaud/surendettement-pour-une-politique-de-la-seconde-chance/">Surendettement : pour une politique de la seconde chance &#8211; conférence de presse des quatre CSP</a> est apparu en premier sur <a href="https://csp.ch/vaud">CSP Vaud</a>.</p> CP – Surendettement – pour une politique de la seconde chance https://csp.ch/neuchatel/cp-surendettement-pour-une-politique-de-la-seconde-chance/ CSP Neuchâtel urn:uuid:3315bc33-475c-9e6c-a258-a415961fb3b3 Tue, 02 Sep 2025 09:35:12 +0200 <p>Chaque année, les quatre CSP de Suisse romande mettent en lumière une problématique tirée de leur expertise de terrain dans le cadre de leur campagne annuelle. Cette année, notre campagne coïncide avec le projet de révision de la loi fédérale sur les poursuites pour dettes et faillite. Experts reconnus dans l’aide au désendettement et le [&#8230;]</p> <p>Cet article <a href="https://csp.ch/neuchatel/cp-surendettement-pour-une-politique-de-la-seconde-chance/">CP – Surendettement – pour une politique de la seconde chance</a> est apparu en premier sur <a href="https://csp.ch/neuchatel">CSP Neuchâtel</a>.</p> <p>Chaque année, les quatre CSP de Suisse romande mettent en lumière une problématique tirée de leur expertise de terrain dans le cadre de leur campagne annuelle. Cette année, notre campagne coïncide avec le projet de révision de la loi fédérale sur les poursuites pour dettes et faillite.</p> <p><strong>Experts reconnus dans l’aide au désendettement et le soutien psychosocial aux personnes surendettées, les CSP ont fait valoir lors de leur conférence de presse du 2 septembre 2025 leurs arguments en faveur de l’adoption de la révision proposée par le Conseil fédéral.</strong></p> <p>Ils plaident en particulier <strong>pour une procédure d’assainissement limitée à trois ans</strong>, assortie d’un accompagnement professionnel indispensable pour permettre aux personnes de la traverser avec succès, souvent après des années de vie déjà soumises au minimum vital.</p> <p>&gt; <a href="https://csp.ch/wp-content/uploads/sites/5/2025/09/CSP_DossierPresse_2septembre2025.pdf"><strong>Lire notre dossier de presse</strong></a></p> <p>&nbsp;</p> <h2><strong>Revue de presse</strong></h2> <ul> <li><a href="https://lecourrier.ch/2025/09/02/dettes-sortir-la-tete-de-leau/"><strong>Dettes: sortir la tête de l’eau </strong>– Le Courrier – 02.09.25</a></li> <li><a href="https://www.tdg.ch/endettement-un-front-romand-se-forme-pour-reviser-la-poursuite-320453977848"><strong>Face au surendettement, des associations romandes réclament des changements</strong> – Tribune de Genève – 02.09.25</a></li> <li><a href="https://www.letemps.ch/suisse/les-personnes-surendettees-pourraient-bientot-voir-leur-ardoise-effacee-en-suisse-une-revolution-attendue-depuis-vingt-ans"><strong>Les personnes surendettées pourraient bientôt voir leur ardoise effacée en Suisse, une révolution attendue depuis vingt ans</strong> – Le Temps – 02.09.25</a></li> <li><a href="https://www.lemanbleu.ch/fr/Actualites/Geneve/Le-CSP-soutient-une-revision-de-la-loi-contre-le-surendettement.html"><strong>Le CSP soutient une révision de la loi contre le surendettement</strong> – Léman Bleu – 02.09.25</a></li> <li><a href="https://www.evenement.ch/articles/offrir-une-seconde-chance-aux-menages-surendettes"><strong>Offrir une seconde chance aux ménages surendettés</strong> – L’événement syndical – 03.09.25</a></li> </ul> <p>Cet article <a href="https://csp.ch/neuchatel/cp-surendettement-pour-une-politique-de-la-seconde-chance/">CP – Surendettement – pour une politique de la seconde chance</a> est apparu en premier sur <a href="https://csp.ch/neuchatel">CSP Neuchâtel</a>.</p> La Rue est à vous – Galiffe ouvre ses portes ! https://csp.ch/geneve/la-rue-est-a-vous-galiffe-ouvre-ses-portes/ CSP Genève urn:uuid:96c5587d-cffc-b45c-9b77-b1510fe37784 Mon, 01 Sep 2025 13:39:08 +0200 <p>Cet article <a href="https://csp.ch/geneve/la-rue-est-a-vous-galiffe-ouvre-ses-portes/">La Rue est à vous – Galiffe ouvre ses portes !</a> est apparu en premier sur <a href="https://csp.ch/geneve">CSP Genève</a>.</p> <div class="wpb-content-wrapper"><div class="vc_row wpb_row vc_row-fluid"><div class="wpb_column vc_column_container vc_col-sm-12"><div class="vc_column-inner"><div class="wpb_wrapper"> <div class="wpb_text_column wpb_content_element" > <div class="wpb_wrapper"> <p data-start="159" data-end="295">Le samedi 6 septembre, l’<a href="https://csp.ch/geneve/services-aide/galiffe/">Atelier Galiffe</a> vous accueille dans le quartier de la Coulouvrenière à l’occasion de <em data-start="273" data-end="292">La Rue est à vous</em>.</p> <p data-start="297" data-end="570">De 13h à 17h, venez découvrir ce lieu de créativité et de convivialité, rencontrer l’équipe et participer à une animation spéciale :<br data-start="433" data-end="436" /><em data-start="438" data-end="471">« Tisser ensemble »</em> – un tissage collectif ouvert à toutes et tous (à l’extérieur, devant l&rsquo;Atelier.</p> <p data-start="572" data-end="677">Une belle occasion de découvrir l’atelier et de partager un moment créatif et chaleureux.</p> </div> </div> </div></div></div></div><div class="vc_row wpb_row vc_row-fluid"><div class="wpb_column vc_column_container vc_col-sm-12"><div class="vc_column-inner"><div class="wpb_wrapper"> <div class="wpb_single_image wpb_content_element vc_align_center wpb_content_element"> <figure class="wpb_wrapper vc_figure"> <div class="vc_single_image-wrapper vc_box_border_grey"><img fetchpriority="high" decoding="async" width="724" height="1024" src="https://csp.ch/wp-content/uploads/sites/5/2025/09/vav-2025-affiche-coulouvreniere-724x1024.jpg" class="vc_single_image-img attachment-large" alt="" title="vav-2025-affiche-coulouvreniere" srcset="https://csp.ch/wp-content/uploads/sites/5/2025/09/vav-2025-affiche-coulouvreniere-724x1024.jpg 724w, https://csp.ch/wp-content/uploads/sites/5/2025/09/vav-2025-affiche-coulouvreniere-212x300.jpg 212w, https://csp.ch/wp-content/uploads/sites/5/2025/09/vav-2025-affiche-coulouvreniere-768x1086.jpg 768w, https://csp.ch/wp-content/uploads/sites/5/2025/09/vav-2025-affiche-coulouvreniere-1086x1536.jpg 1086w, https://csp.ch/wp-content/uploads/sites/5/2025/09/vav-2025-affiche-coulouvreniere-1448x2048.jpg 1448w, https://csp.ch/wp-content/uploads/sites/5/2025/09/vav-2025-affiche-coulouvreniere-156x221.jpg 156w, https://csp.ch/wp-content/uploads/sites/5/2025/09/vav-2025-affiche-coulouvreniere-300x424.jpg 300w, https://csp.ch/wp-content/uploads/sites/5/2025/09/vav-2025-affiche-coulouvreniere-740x1047.jpg 740w, https://csp.ch/wp-content/uploads/sites/5/2025/09/vav-2025-affiche-coulouvreniere-scaled.jpg 1810w" sizes="(max-width: 724px) 100vw, 724px" /></div> </figure> </div> </div></div></div></div> </div><p>Cet article <a href="https://csp.ch/geneve/la-rue-est-a-vous-galiffe-ouvre-ses-portes/">La Rue est à vous – Galiffe ouvre ses portes !</a> est apparu en premier sur <a href="https://csp.ch/geneve">CSP Genève</a>.</p> Alexandre Cavin, nouveau président du CSP Vaud: une présidence au service du collectif https://csp.ch/vaud/alexandre-cavin-nouveau-president-du-csp-vaud-une-presidence-au-service-du-collectif/ CSP Vaud urn:uuid:44fd81af-76e6-d89b-a029-559f85ebed68 Fri, 29 Aug 2025 10:35:28 +0200 <p>Élu par les membres lors de l’Assemblée générale du 16 juin 2025, Alexandre Cavin succède à Anne Baehler Bech à la présidence du CSP Vaud. Secrétaire général de la Fédération vaudoise de coopération (Fedevaco) depuis 2016 et membre du Comité du CSP Vaud depuis 2019, il s’inscrit dans une continuité attentive aux valeurs de solidarité [&#8230;]</p> <p>Cet article <a href="https://csp.ch/vaud/alexandre-cavin-nouveau-president-du-csp-vaud-une-presidence-au-service-du-collectif/">Alexandre Cavin, nouveau président du CSP Vaud: une présidence au service du collectif</a> est apparu en premier sur <a href="https://csp.ch/vaud">CSP Vaud</a>.</p> <p>Élu par les membres lors de l’<a href="https://csp.ch/vaud/presidence-un-passage-de-temoin-porteur-de-continuite/">Assemblée générale du 16 juin 2025</a>, Alexandre Cavin succède à Anne Baehler Bech à la présidence du CSP Vaud. Secrétaire général de la Fédération vaudoise de coopération (Fedevaco) depuis 2016 et membre du Comité du CSP Vaud depuis 2019, il s’inscrit dans une continuité attentive aux valeurs de solidarité et de justice sociale. Alors que l’institution prépare sa stratégie 2026–2030, il partage ici son style de présidence et ses priorités pour les prochains mois.</p> <p><strong>Qu’est-ce qui vous a motivé à prendre la présidence du CSP Vaud ? Et quel est le moment déclencheur qui vous a convaincu ?</strong></p> <p>La décision s’est prise après des échanges avec la présidente sortante et la directrice. C’est la continuité d’un engagement entamé au sein du Comité en 2019, pour une association dont je partage profondément les valeurs. Plus largement, j’ai envie de contribuer à une société plus juste et plus solidaire.</p> <p><strong>Qu’est-ce que votre expérience à la Fedevaco vous a appris que vous souhaitez mettre au service de la présidence du CSP Vaud ?</strong></p> <p>À la Fedevaco, en tant que secrétaire général, j’alterne vision stratégique et opérationnel. On définit collectivement des orientations et, au quotidien, je veille à la qualité des services rendus à nos membres et aux collectivités publiques partenaires. Cette double casquette m’a appris à garder le lien avec le terrain. Elle me sera utile pour présider sans me déconnecter du quotidien des équipes.</p> <p><strong>Quel style de présidence souhaitez-vous incarner ? </strong></p> <p>Je me vois avant tout comme un animateur et un facilitateur, au service du collectif. Au Bureau comme au Comité, je veux conduire les séances avec dynamisme et écoute, laisser de la place à chaque voix et valoriser la diversité des profils. L’objectif : des échanges constructifs qui débouchent sur des décisions claires et actionnables.</p> <p><strong>Si vous deviez fixer trois priorités concrètes pour ce mandat de 4 ans à la tête de la présidence, lesquelles choisiriez-vous ?<br /> </strong></p> <p>Si je résume, mes priorités sont simples : prendre soin des équipes, sécuriser nos moyens et renforcer les Galetas.</p> <p>D’abord, je veux que chaque salarié·e et bénévole soit satisfait·e de s’engager au sein du CSP Vaud — ça passe par l’écoute, la formation et la reconnaissance. Ensuite, nous devons consolider nos partenariats publics et privés (donateurs, fondations) pour maintenir et développer nos prestations ; les besoins augmentent, il faudra donc intensifier plaidoyer et communication. Enfin, je veux donner aux <a href="https://csp.ch/vaud/galetas-et-boutiques/">Galetas</a> les moyens de leur double mission : faire vivre l’économie solidaire &#8211; en luttant contre les inégalités et l’exclusion sociale &#8211; et accélérer la transition écologique en valorisant le réemploi et en prolongeant la vie des objets.</p> <p><strong>Dans un contexte politique et financier vaudois marqué par des volontés de restrictions budgétaires, quels enjeux majeurs voyez-vous pour le CSP Vaud ?</strong></p> <p>Le risque, c’est une baisse du soutien cantonal qui nous obligerait à réduire certaines prestations. Or le CSP Vaud met en œuvre, de manière efficace, plusieurs politiques publiques — sociales, d’intégration, de durabilité, de justice. Il est essentiel que les autorités continuent à nous appuyer : la solidité financière du CSP Vaud conditionne directement l’accès aux droits des personnes que nous accompagnons.</p> <p><strong>Un mot pour le terrain : que souhaitez-vous dire aujourd’hui aux équipes et aux bénévoles ? </strong></p> <p>Merci à toutes et tous. Chacun·e, à son échelle, contribue à une société plus solidaire et plus égalitaire. Continuez à parler autour de vous du CSP Vaud et de la qualité de son travail : vous êtes nos premières ambassadrices et nos premiers ambassadeurs. Je me réjouis d’aller à votre rencontre.</p> <p><strong>Biographie</p> <p></strong>Alexandre Cavin, 55 ans, est secrétaire général de la Fedevaco depuis 2016, faîtière vaudoise qui regroupe 51 organisations actives en coopération au développement. Son parcours conjugue gouvernance d’ONG, partenariats publics/privés et ancrage de terrain, notamment à l’EPER, où il a œuvré huit ans (1994-2002) comme formateur d’adultes et chargé des programmes de cours de français et d’insertion socioprofessionnelle pour personnes migrantes.</p> <p>Cet article <a href="https://csp.ch/vaud/alexandre-cavin-nouveau-president-du-csp-vaud-une-presidence-au-service-du-collectif/">Alexandre Cavin, nouveau président du CSP Vaud: une présidence au service du collectif</a> est apparu en premier sur <a href="https://csp.ch/vaud">CSP Vaud</a>.</p> 30 juillet: journée mondiale contre la traite des êtres humains https://csp.ch/geneve/30-juillet-journee-mondiale-contre-la-traite-des-etres-humains-2/ CSP Genève urn:uuid:1fdf0464-5863-b41a-e5ca-ce7fed973c1f Wed, 30 Jul 2025 10:00:19 +0200 <p>Plus de 200 personnes victimes de la traite des êtres humains identifiées en Suisse en 2024 Les cinq organisations membres de la Plateforme Traite &#8211; FIZ, ASTRÉE, CSP Genève, Antenna MayDay et AVIT &#8211; ont identifié 201 nouvelles victimes de la traite des êtres humains en Suisse l&#8217;année dernière. Les organisations membres de la Plateforme [&#8230;]</p> <p>Cet article <a href="https://csp.ch/geneve/30-juillet-journee-mondiale-contre-la-traite-des-etres-humains-2/">30 juillet: journée mondiale contre la traite des êtres humains</a> est apparu en premier sur <a href="https://csp.ch/geneve">CSP Genève</a>.</p> <h1>Plus de 200 personnes victimes de la traite des êtres humains identifiées en Suisse en 2024</h1> <p><em>Les cinq organisations membres de la <a href="https://plateforme-traite.ch/">Plateforme Traite</a> &#8211; <a href="http://www.fiz-info.ch">FIZ</a>, <a href="http://www.astree.ch">ASTRÉE</a>, <a href="https://csp.ch/geneve/services/traite-des-etres-humains/">CSP Genève</a>, <a href="http://www.sos-ti.ch/mayday.html">Antenna MayDay</a> et <a href="https://avit-vs.ch/">AVIT</a> &#8211; ont identifié 201 nouvelles victimes de la traite des êtres humains en Suisse</em><br /> <em>l&rsquo;année dernière.</em></p> <p>Les organisations membres de la Plateforme Traite ont accompagné et conseillé au total 483 victimes de la traite des êtres humains tout au long de 2024. Ces chiffres, qui restent stables, voire en légère hausse depuis plusieurs années, ne cessent de confirmer que la traite des êtres humains est une réalité en Suisse. La grande majorité des nouvelles personnes identifiées sont des femmes* (73 %), tandis que près d’un quart sont des hommes*. Les personnes victimes proviennent de 54 pays différents, avec un nombre plus important de victimes nouvellement identifiées en 2024 originaire du Nigéria, de Colombie et de Hongrie.</p> <p>Ces chiffres ne reflètent qu&rsquo;une partie de la réalité du phénomène en Suisse, l&rsquo;identification des victimes (en termes d&rsquo;origine, de sexe et de type d&rsquo;exploitation) dépendant fortement de la présence<br /> de services spécialisés, du degré de sensibilisation à la thématique et des secteurs contrôlés. Cependant, l’implication croissante de certains cantons et des organisations spécialisées ces dernières années permet de détecter un nombre grandissant de situations et de dresser des constats plus proches de la réalité.</p> <h3><strong><span style="color: #f5960f">Écho limité au niveau national</span></strong></h3> <p>Si les dispositifs spécialisés existants ont démontré leur pertinence et que de nouvelles initiatives voient le jour dans les cantons, la cohérence entre ces actions cantonales et les politiques fédérales<br /> doit être améliorée. Sans une augmentation des ressources financières pour accompagner l’engagement croissant des cantons et des organisations spécialisées, la lutte contre la traite des êtres humains risque de perdre en efficacité à long terme. De plus, sans coordination étroite entre les actions locales et cantonales et le niveau fédéral, notamment en ce qui concerne l’octroi des autorisations de séjour et les mesures d’intégration pour les personnes victimes, les efforts engagés resteront fragmentés et insuffisants. Par exemple, il arrive que des personnes victimes de traite se voient refuser un permis de séjour par les autorités fédérales, alors que les autorités cantonales sont favorables ou qu’elles ont soutenu financièrement le processus d’intégration de ces personnes durant plusieurs années.</p> <p>Dans le domaine de l’accompagnement des victimes, la Plateforme Traite se félicite d’accueillir cette année comme nouveau membre le service de consultation spécialisée nouvellement créé en Valais. Pour David Dandrès, directeur de l’Association valaisanne de soutien aux victimes et témoins de la traite des êtres humains (AVIT): <em><span style="color: #f5960f">«La traite des êtres humains est une réalité aussi discrète que dévastatrice. Offrir aux victimes un lieu d’écoute, de soutien et de reconstruction est essentiel. Ce nouveau service en Valais marque une avancée concrète pour celles et ceux qui, après avoir vécu l’exploitation, cherchent à défendre leurs droits et retrouver leur capacité d’agir. Cela démontre également que, canton après canton, nous pouvons construire un dispositif national plus cohérent et plus juste pour les victimes»</span></em>.</p> <h3><strong><span style="color: #f5960f">Critique du pacte européen sur l&rsquo;asile</span></strong></h3> <p>Sur les 201 nouvelles victimes de traite identifiées, 10,4 % se trouvaient dans une procédure d&rsquo;asile. Les autres sont sans-papiers ou relèvent du droit des étrangers (LEI). L&rsquo;expérience des organisations membres de la Plateforme Traite montre que la précarité des trajets migratoires expose les personnes concernées à des risques importants d’exploitation. Ainsi comme le souligne Fanie Wirth de la FIZ : <span style="color: #f5960f"><em>«La diminution de voies de migration sûres et légales induites par le nouveau pacte d’asile européen pourrait davantage accentuer ces conditions de précarité pour les personnes migrantes»</em></span>.</p> <p>Dans ce contexte, la Plateforme Traite critique vivement les adaptations apportées par la Suisse au pacte européen sur l&rsquo;asile et recommande que la Suisse fasse usage de la clause de souveraineté pour traiter les demandes d&rsquo;asile, en particulier pour les personnes en situation de vulnérabilité accrue telles que les victimes de la traite des êtres humains.</p> <hr /> <p><a href="https://plateforme-traite.ch/">Plateforme Traite</a> est un réseau suisse de cinq organisations spécialisées (CSP Genève, <a href="https://www.astree.ch/">ASTRÉE</a>, <a href="https://avit-vs.ch/">AVIT</a>,  <a href="https://www.fiz-info.ch/fr/Willkommen">FIZ Fachstelle Frauen- handel und Frauenmigration</a>, <a href="https://www.sos-ti.ch/mayday.html">Antenna MayDay</a>), qui s&rsquo;engagent pour les droits des personnes victimes de la traite des êtres humains et identifient, conseillent et assistent les victimes. Leurs principes de base sont le respect des droits humains et l&rsquo;attention portée aux besoins des personnes concernées.</p> <p>Contact pour les médias :</p> <ul> <li>Mimoza Kokollari, &#x6d;&#x69;&#x6d;&#x6f;&#x7a;&#x61;&#x2e;&#x6b;&#x6f;&#x6b;&#x6f;&#108;&#108;&#97;&#114;&#105;&#64;&#97;stree&#46;&#x63;&#x68;, 021 544 27 99 (en français)</li> <li>Fanie Wirth, f&#97;&#110;&#x69;&#x65;&#46;&#87;&#105;&#x72;&#x74;&#x68;&#64;&#102;&#105;&#x7a;&#x2d;in&#102;&#x6f;&#x2e;&#x63;h, 044 436 90 09 (en allemand)</li> </ul> <p>Pour toute question concernant des régions spécifiques :</p> <ul> <li>Suisse alémanique : FIZ, Fanie Wirth, &#70;&#x61;&#x6e;&#105;&#x65;&#x2e;&#87;&#x69;&#x72;&#116;&#x68;&#x40;&#102;&#x69;&#x7a;&#45;&#x69;&#x6e;&#102;&#x6f;&#x2e;&#99;&#x68;</li> <li>Suisse romande : ASTRÉE (Vaud), Angela Oriti, 021 544 27 99 ; CSP Genève, Leila Boussemacer, 022 807 07 63 ; AVIT (Valais), David Dandrès, 027 565 05 53</li> <li>Tessin : Antenna MayDay, Monica Marcionetti, 0795903946</li> </ul> <p>Cet article <a href="https://csp.ch/geneve/30-juillet-journee-mondiale-contre-la-traite-des-etres-humains-2/">30 juillet: journée mondiale contre la traite des êtres humains</a> est apparu en premier sur <a href="https://csp.ch/geneve">CSP Genève</a>.</p> Un défilé pour se révéler – retour en images sur l’Atelier de création textile du CSP https://csp.ch/geneve/un-defile-pour-se-reveler-retour-en-images-sur-latelier-de-creation-textile-du-csp/ CSP Genève urn:uuid:39f6dd8c-04c6-64b8-8fc5-2ba7e2fa0ef8 Thu, 03 Jul 2025 16:29:11 +0200 <p>Cet article <a href="https://csp.ch/geneve/un-defile-pour-se-reveler-retour-en-images-sur-latelier-de-creation-textile-du-csp/">Un défilé pour se révéler &#8211; retour en images sur l’Atelier de création textile du CSP</a> est apparu en premier sur <a href="https://csp.ch/geneve">CSP Genève</a>.</p> <div class="wpb-content-wrapper"><div class="vc_row wpb_row vc_row-fluid"><div class="wpb_column vc_column_container vc_col-sm-12"><div class="vc_column-inner"><div class="wpb_wrapper"> <div class="wpb_text_column wpb_content_element" > <div class="wpb_wrapper"> <p data-start="232" data-end="615">Le jeudi 19 juin 2025, la brocante Renfile de Plan-les-Ouates a accueilli le <span style="color: #ff6600"><strong>défilé de clôture de l’Atelier de création textile du CSP Genève</strong></span>. Ce projet, mené pour la troisième année consécutive, offre à des jeunes de 18 à 25 ans la possibilité de renouer avec une activité, de valoriser leur potentiel créatif et de réfléchir à un projet de formation ou d’insertion professionnelle.</p> <p data-start="617" data-end="1096">Durant dix mois, les participant·es ont été initié·es aux techniques de couture et d’upcycling à partir de matériaux récupérés au sein de la brocante. Encadré·es par une professionnelle du secteur, iels ont conçu des tenues originales qu’iels ont présentées lors d’un défilé itinérant. Chaque jeune avait imaginé une scénographie propre, dans un espace distinct de la brocante – de l’atelier couture au garage, en passant par les rayons de la boutique. Le public a ainsi découvert, au fil des stations, des univers singuliers soigneusement mis en scène, où chaque création trouvait toute sa place.</p> <p data-start="1098" data-end="1401">L’Atelier de création textile s’inscrit dans le cadre du programme <a href="https://www.ge.ch/dossier/objectif-jeunes-insertion-sport-arts-culture">Objectif jeunes</a> du Département de la cohésion sociale du canton de Genève. Il est porté par le Service insertion du CSP Genève, qui accompagne chaque année plus de 160 personnes dans la construction de leur projet professionnel.</p> <p data-start="1403" data-end="1545">Nous remercions les participant·es pour leur engagement, ainsi que l’ensemble des partenaires et des personnes présentes lors de cette soirée.</p> <p data-start="1547" data-end="1602">